tag:blogger.com,1999:blog-65921902229212579892023-11-15T23:24:57.402-08:00isbelle-moinonplusDiálogos entre París y el Sur de Europa/
Dialogues entre Paris et le Sud de L´Europe.isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.comBlogger79125tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-17635504216742454152013-12-25T11:13:00.001-08:002013-12-25T11:13:20.461-08:00"Paris n´appartient à personne" (Charles Peguy)/ "PARIS NOUS APPARTIENT" (film de Jacques Rivette)Un beau Noël! Toujours ceux que nous aimons avec nous même et malgré si ils n´y sont pas ou bien si ils nous ont laissé. À Paris nous y sommes toujours fidèlement, encore plus à Noël même: une ville qui se prête aussi... Je regardais ce film magnifique de Rivette il ya quelques jours sur la désillusion de la jeunesse à la dérive et je suis tombée sur Le MOMA qui célébrait aussi cet été un cine forum sur le cinéma avant garde français et la Nouvelle Vague. Et voilà!!<br />
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Mais moi je proclame: "Paris m´appartient!"<br />
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Joyeux Noël si vous n´avez pas eu l´occasion de me visiter sur place...<br />
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<a href="http://www.moma.org/explore/inside_out/2013/06/11/jacques-rivettes-paris-belongs-to-us/">http://www.moma.org/explore/inside_out/2013/06/11/jacques-rivettes-paris-belongs-to-us/</a>isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-81178653576328826422013-12-24T09:12:00.001-08:002013-12-24T09:12:04.355-08:00Noël, Années soixantes à Paris.<br />
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J´ai toujours imaginé les Noëls de mes parents un peu comme ça! C´est bien pour celà que j´aime sans doute ce beau vidéo qui résume ces moments doux (même si doux qu´ils ne sont pas vrais...) qui sont guère bien difficiles de se répéter de nos jours.Mais il coûte si peu de rêver: je vous le laisse pour que vous le regardiez en cas que vous veniez sur mon blog! Joyeux Noël, Alain et surtout Romy...dans tes cieux, dans tes yeux, ou n´importe quel soit ton beau prénom, joyeux noël!<br />
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<a href="http://www.youtube.com/watch?v=q8Tl9MyNAuI">http://www.youtube.com/watch?v=q8Tl9MyNAuI</a>isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-23255780834829978132013-12-22T02:16:00.001-08:002013-12-22T02:16:53.990-08:00Paris à Londres: Southbank CenterIl y a quelque temps que je ne viens pas sur mon blog... Pourquoi pas aller à Londres, qui toujours s´est sentie si attirée par Paris? Voilà ce que le South Bank Center organisait.<br />
<a href="http://therestisnoise.southbankcentre.co.uk/explore/paris/74fbMZizOh0#1">http://therestisnoise.southbankcentre.co.uk/explore/paris/74fbMZizOh0#1</a><br />
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Magnifiques expos et activités sur le Paris Fin de Siècle et le Modernisme et L´Avant Garde.isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-57947491956083343702013-08-15T12:43:00.001-07:002013-08-15T12:47:24.191-07:00Still Life in Seville et Henri Matisse/Naturaleza Muerta en Sevilla.<br />
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Le peintre Henri Matisse a voyagé de Paris à Séville en 1911 où il realisa son oeuvre "Still Life in Seville I et II" et "Joaquine". Il peignait dans sa chambre d´hôtel (certains disent que dans une "pension" (L´hôtel Inglaterra qui existe toujours à la Plaza Nueva) avec le peintre espagnol Francisco Iturrimo. Il y passait donc quelques mois avant de partir pour Grenade où il s´inspirait de l´Art Musulman avant de continuer ses voyages au Maroc. L´Andalousie a toujours été une inspiration riche pour les artistes: ses couleurs et la fusion des cultures diverses. Mais à la fois, aujourdh´hui il nous semble que la ville dort de tristesse et de faute d´imagination renouvelée: de là, la regarder comme l´aurait fait Matisse: un coin d´une belle chambre de couleurs "fauves" qui de leurs silences et présences, laissent entrevoir la sagesse et la mort des objets qui nous entourent et accompagnent, plus vivants même que les gens... Séville est de nos jours a "still life" (una naturaleza muerta) qui aurait besoin de cette vision multicolore que le peintre nous laissa comme univers privé: son interprétation de la fusion arabe et ethnique de la ville, avec ses odalisques plus tard et ses tissus...voluptueux comme les corps des femmes qu´il reflétait et qu´il aimait sans doute.<br />
<a href="http://www.henri-matisse.net/paintings/bia.html">http://www.henri-matisse.net/paintings/bia.html</a><br />
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<br />isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-17694244230793752972013-05-29T08:32:00.001-07:002013-05-29T08:34:48.785-07:00Gatsby, Le Magnifique ou L´Eternel Adolescent.<strong>Gatsby, Le Magnifique ou L´éternel Adolescent du Grand "American Dream".</strong> <br />
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Le roman de Fitzgerald, Scott adapté une fois de plus au cinéma. Cette fois, Leonardi Di Caprio et la jeune et douce Carey Sullivan. À Cannes, les voilà.... Ils représentent la follie des années 20 qui est un peu la notre.<br />
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Comment ne pas se laisser ausi séduire par cette "Magifique" histoire? Plus qu´une Publicité de Champagne!!<br />
Merveilleuse, éblouissante traduction visuelle d´un livre-roman qui s´inspire sur "Le Grand Meaulnes" d´Alain Fournier.<br />
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À la recherche du temps perdu, de l´Amour, du Premier Amour Perdû, Retrouvé....Comme Scott Fitzegerald, qui a construit le personnage de Daisy inspiré par son premier et grand amour de jeunesse, d´adolescence: il y avait toujours Guinevere avant Zelda, son épouse.<br />
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"Nous ne sommes que comme des bâteaux toujours repoussés en arrière par notre passé".<br />
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"Gatsby croyait à la lumière verte de l´espoir"/"Gatsby sí creía en aquella luz de color verdosa, ese futuro de orgías que al pasar de los años va retrocediendo ante nosotros" (la traducción es mía del texto inglés).<br />
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En espagnol: El Gran Gatsby, en todas las traducciones publicadas. Prefiero el título en francés que se inspira de la novela "Le Grand Meaulnes" que se tradujo al inglés como "The Magnificent Meaulnes".<br />
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Les critiques n´ont pas été très favorables. Mais, pour moi le film, sans comparaison avec les autres versions (sûrement celle de Robert Redford et Mia Farrow que nous adorons, sans doute forme part aussi de nos premiers amours et scéances de cinéma adolescent), a la lecture post-moderne que le roman méritait: la musique, les images visuelles, le rhythme du jazz, le luxe, le glamour, l´art visuel et numérique du design. Le nouveau cinéma qui nous attend.<br />
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Une histoire toujours unique et terrible: la noblesse d´un Magnifique et Éternel Adolescent qui n´avançait que pour cet Amour de Jeunesse première: un fantôme qui nous poursuit toute la vie. Mais un e lumière verte laquelle une fois retrouvée ne peut plus s´illuminer à l´infini. The American Dream qui s´épanouit...<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj11xX9kra4QagUr1Z2wxtzRgB0z0OcPu6JmTqBPrBppf7jh6LB1DxD1qFadzODdi8jw2acM-5M_izx1-gznuqBUaaWNvf686KtmxhYM0KYqWFNjc3G0fyUbbOhAuFvkCiBlg4yj4NKn0U/s1600/L-equipe-du-film-Gatsby-Le-Magnifique-lors-du-photocall-du-film-a-Cannes-le-15-mai-2013_exact810x609_l.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj11xX9kra4QagUr1Z2wxtzRgB0z0OcPu6JmTqBPrBppf7jh6LB1DxD1qFadzODdi8jw2acM-5M_izx1-gznuqBUaaWNvf686KtmxhYM0KYqWFNjc3G0fyUbbOhAuFvkCiBlg4yj4NKn0U/s320/L-equipe-du-film-Gatsby-Le-Magnifique-lors-du-photocall-du-film-a-Cannes-le-15-mai-2013_exact810x609_l.jpg" width="320" yya="true" /></a></div>
isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-64937033776866844432013-05-11T08:57:00.001-07:002013-05-13T08:12:27.162-07:00Roméo et Juliette: La Tragédie de Danser L´amour à Séville. Compañía Nacional de Danza.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://4.bp.blogspot.com/-GKXsKZm0InA/UY5mgtUVtQI/AAAAAAAAAZ8/oW6apF0jo_Q/s1600/romeo2.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="146" src="http://4.bp.blogspot.com/-GKXsKZm0InA/UY5mgtUVtQI/AAAAAAAAAZ8/oW6apF0jo_Q/s320/romeo2.jpg" width="320" /></a></div>
Nous voilà au Sud pour contempler une fois de plus la Tragédie des Amants: les plus beaux et jeunes amants du Monde qui affectés par les topiques attribués de tous côtés ne se résistent pas à nouveau à nous offrir cette fois, une plus que moderne vision d´un couple qui n´est pas vraiment un couple mais, plutôt un SEUL CORPS; UNE SEULE ÂME; UN SEUL ÊTRE. De là, l´impossibilité de fuir d´un DESTIN qui parait capricieux, mais qui est vraiemnt choisi par eux- mêmes. Ils ne dansent pas comme des victimes du Hasard, ou de la Fortune ou de la Mort Spectrale qui les poursuit et guette dès leur première rencontre au Bal de Masques (qui nous rapelle l´Aesthétique du film de Stanley Kubrick, "eyes Wide Shut" dans la choréographie de Goyo Montero de Ballet National d´Espagne). Dès le début le Spectre Eternel les guette comme chez Shakespeare: ils ont eux-mêmes choisi leur destin, par propre volonté carthésienne, en niant leur familles, leur prénoms, la société. Leur courage est dans leur éblouissante jeunesse à laquelle ils s´accrochent avec désespération.<br />
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Cette fois, Juliette a choisi librement son propre Destin: Danser éternelle avec son "Soi.- Même" qu´elle épousera pour un Toujours Uni`a son corps si fragile, apparemment. Son "AUTRE", son double, sa soeur jumelle: Roméo. Libérée des tutus..et des impositions des Prénoms, des Noms, de la Haine des familles, des chaines et conventions sociales, elle apparait telle qu´elle est: nue, sans maquillages, sans faux costumes. La Tragédie de Shakespeare en traduction içi du Corps et accompagnée de la Musique de Prokoviev, au Ballet de Goyo Montero. Nous souhaitons de nombreux succès à cette extraordinaire Compagnie Nationale.<br />
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Aimera ce soir une ville comme Séville cette si Moderne Tragédie au Théatre de la Maestranza? Écrite il y a des siècles pour exprimer la faiblesse de l´Artifice des Conventions comme le Language de la Parole qui s´erase, quand les Amants s´aiment déjà même quand ils ne connaissent ni leur Noms...à travers leur Premier Bal qui permet que leurs mains se touchent, que leur lèvres se touchent, que leurs corps se frôlent...et se touchent à nouveau, ils franchissent les barrières en transformant leur propre corps. Rien ne s´oppose à la Force du Corps qui s´impose içi même avec la violence des jeunes (la mort de Mercutio), à travers le language des gestes, des pas, des regards, des frôlements timides et hasardés. La Danse exprime plus que les autres Arts la force de L´amour eternel et sublime à travers notre Corps: seul espace tangible et Réel de L´Amour. Bravo!! pour tous ces danseurs et danseuses qui forment la Compagnie dir. par José Carlos Martínes. Impécable coréographie, moderne sur un ballet classique, selon GOYO MONTERO.<br />
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Carlos Martines est actuellement une Étoile de L´Opéra de Paris (palais Garnier). Une fois de plus, les dialogues entre le Nord et L´Espagne continuent...isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-29862647517251374112013-05-11T08:28:00.001-07:002013-05-11T08:28:02.063-07:00isbelle-moinonplus: Roméo & Juliette à Seville: La tragédie de danser l´Amour au Sud/Compañía Nacional de Danza (Teatro de la Maestranza-Sevilla).<a href="http://isbelle-moinonplus.blogspot.com.es/2013/05/romeo-juliette-seville-la-tragedie-de.html#links">isbelle-moinonplus: Roméo & Juliette à Seville: La tragédie de danser l´Amour au Sud/Compañía Nacional de Danza (Teatro de la Maestranza-Sevilla).</a>isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-25860424016570573092013-01-13T11:40:00.000-08:002013-01-13T11:40:01.930-08:00Giselle danse au Sud: Le Ballet National de Létonie.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgg7gC2m22vTvUrlttgpSRj0oRsYJqs0NuH-ePERPiQBHLL0RUgbePFtfA8UqAWWLIkgDEGv0EQv7mg207ZGbUX9X6bxJVpMOHbitlqYBc3Qx8AtAOu_hjDVtura9TF4WAEJV5peIBdamc/s1600/Giselle.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="221" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgg7gC2m22vTvUrlttgpSRj0oRsYJqs0NuH-ePERPiQBHLL0RUgbePFtfA8UqAWWLIkgDEGv0EQv7mg207ZGbUX9X6bxJVpMOHbitlqYBc3Qx8AtAOu_hjDVtura9TF4WAEJV5peIBdamc/s320/Giselle.jpg" width="320" /></a></div>
Giselle ou les esprits des Wallis.<br />
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Le Ballet National de Letonie au Théatre de La Maestranza à Séville avec le ballet "Giselle".<br />
Je me demandais si il y a de plus dur et plus beau que la danse classique. Anonymes danseuses la plupart des fois: en les regardant on se demande toujours comment est- il possible supporter ces longues scéances de sacrifice et de dur travail physique et mental dès l´enfance?. Absolument génial! Seul l´esprit de "Giselle" elle même doit faire danser ces si jeunes filles qui comme des petites poupées en porcelaine se glissaient hors du temps... Elles me semablaient si fragiles et si fortes en même temps. Il est très difficile d´expliquer l attraction irrésistible que la danse classique exerce sur le corps et l´esprit une fois qu´on y goûte et on la vit en soi même comme une philosophie de vie. Je me demandais si ce Sud a vraiment apprécié la grâce presque divine et la capacité du peuple de L´Est pour cet Art hérité des écoles Russes de Danse classique, l´autre soir. Le Sud ne me semble pas très accoutumé à ce particulier langage... Le Flamenco, ça c´est une autre histoire. La Danse classique exige un esprit de sacrifice critiqué comme d´inhumain envers toutes ces jeunes... mais il n´y a rien de plus beau à contempler. Je crois que le Sud n´a pas assez applaudi l´incroyable et extraodinaire réalisation technique et esthétique d´un Art qui en Andalousie n´est pas encore assez apprécié comme il le mérite. Mais "Pas à Pas" la Danse, comme Giselle fera danser ces petites filles du Sud un jour. Ces petites qui assistaient avec leur famille, ce soir au théatre à mon côté et regardaient le ballet avec la même stupeur et aussi émerveillées, comme moi même je me suis sentie la première fois... au Palais Garnier, quand on m´a emnené voir ma première Giselle. Depuis, ces "Wallis" m´ont condamnée à amimer la Danse pour l´infini. Mais, içi cet esprit est encore difficile à être compris. Le public semblat avoir envie de partir trop tôt, quand encore la Premiêre Danseuse faisait avec toute sa délicatesse et humilité de L´Est ses révérances au public. J´attendais un BIS!!! Mes Congratulations pour le Ballet de Letonia (Riga)isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-30140766784850366932013-01-07T02:44:00.001-08:002013-01-07T02:56:09.573-08:00De Paris à Cadix: le voyage d´ Alexandre Dumas en Andalousie.J´ai retrouvé cette lecture un peu par hasard. Ces deux villes ont une lumière très spéciale et je me demandais si un jour nous pourrions lire un de ces passages ensemble et nous promener sur ses plages. Loin de Paris, ses habitants la regrettent. Malgré que Cádix nous est si proche, nous n´apprécions peut-être pas autant que ces grands voyageurs du passé une ville si magnifique et énigmatique, comme si elle était restée suspendue entre La Habana et les constructions de la Colonization... On croirait pouvoir se retrouver avec une Carmen entre les ruelles du Quartier de la Viña... Peut-être dans un furtif voyage en train en Andalousie, comme les grands voyageurs du XIX siècle.<br />
Pour la Mairie de Paris et pour Paris même travaille Anne Hidalgo, de Cádix...Une des filles de L´Espagne, de ces familles d´émigrés andalous qui ont tan travaillé sans gloire pour la France. Leurs filles du Sud (moité parisienne comme elle même et d´autres femmes anonymes) sont venues jusqu´içi (l Île de France...) pour apporter un peu plus de Lumière de Cádix, de "La Isla", à la Ville Lumière par excellence: mais la lumière du Sud est sans doute plus pure: plus proche au Ciel. Vous pouvez lire sur Ana Hidalgo dans le lien du Figaro. Vous pouvez venir à Cadix regarder le Bleu absolument Bleu de son Ciel dessiné sur mes yeux par un regard d´un étranger...<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhw5F0Ek88RD6vCY29d8kOvx9JVV5Bl1WBxVTNtXg1rgQJ91jwbNI3eJX_pk7m_UJ66_wcGC_7tOam1Q2vUsd8VRhDoyezYJLZj6YQOXmtbplU1r8BeSsV0TOwp8Pr9HDMJ_MZBJ5LzcWo/s1600/c%C3%A1diz.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhw5F0Ek88RD6vCY29d8kOvx9JVV5Bl1WBxVTNtXg1rgQJ91jwbNI3eJX_pk7m_UJ66_wcGC_7tOam1Q2vUsd8VRhDoyezYJLZj6YQOXmtbplU1r8BeSsV0TOwp8Pr9HDMJ_MZBJ5LzcWo/s1600/c%C3%A1diz.jpg" /></a></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi3PquW_Wb9g99F-_b118gH56KzfK3n13jqyUxbG0h32iwj5ie9OoaY8sTos-jKYQ6UluasJuO2wrxVUmMlFKbBrqf17UgDXRtimwHwDyGE7L5Jk3pFuGi7Z2vGoYXb8af5mHBXnYU1ZMs/s1600/img_0004.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi3PquW_Wb9g99F-_b118gH56KzfK3n13jqyUxbG0h32iwj5ie9OoaY8sTos-jKYQ6UluasJuO2wrxVUmMlFKbBrqf17UgDXRtimwHwDyGE7L5Jk3pFuGi7Z2vGoYXb8af5mHBXnYU1ZMs/s320/img_0004.jpg" width="211" /></a></div>
Je m´en vais pour lire et te raconter un jour.isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-83988527076796100852012-12-23T12:32:00.003-08:002012-12-23T13:09:38.989-08:00LE FABULEUX CHEMIN D´ISBELLE.<b>"Il est 5 heures...Paris S´eveille "/ "Así Que Pasen Cinco Años": Mes Derniers Regards San Toi sur Paris... Flou ou Bleu ou Rosé ou Ensoleillé ou Sous La Pluie...C´est toujours aussi beau.</b><br />
<b><br /></b>
<b>LE FABULEUX CHEMIN DE MADEMOISELLE-ELLE. (toutes les photos originales de l´auteur de ce blog).</b><br />
<b><br /></b>
<b>1. Vers la Place Vendôme... les émeraudes Cartier et ses léopards nous attendent pour nous dévorer.</b><br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiT60HEtoRntf-Cj3j-CYDb9nkibKcjKiz6a-fzzrxMzZQ4DREKYLvJhgg9i9Tii3pK7ffGljI28gXOS2pox64n8ybyDuC_IoI_xF_OzyWbW1bR7N5w-9qOCZ-ESUiRHHauTh2QhO7zByc/s1600/49780169.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiT60HEtoRntf-Cj3j-CYDb9nkibKcjKiz6a-fzzrxMzZQ4DREKYLvJhgg9i9Tii3pK7ffGljI28gXOS2pox64n8ybyDuC_IoI_xF_OzyWbW1bR7N5w-9qOCZ-ESUiRHHauTh2QhO7zByc/s320/49780169.jpg" width="320" /></a></div>
<b>2. Place de L´Opéra ou Palais Garnier: je t´attends. Olga ne dansera pas ce soir pour les Ballets Russes. Elle embrasse le peintre à son Atelier. Picasso aimait chacune de ses femmes. Diaghilev est mort. Rien ne reste du passé: "baleillé, oublié..." chantait la Piaf.</b><br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg0PlpEnti8K-bkegeQFG6AZ_l1EmB2jLF25yo-a7QmrGt5V1fB4khHEToAVwIWmpi0Jw2H8C-jkTUQcIXGLtgsp6CNiX3asU0lES00b1IWJNEKCvbXcfBFkfdZM8iPWFU3PV-92_zo37w/s1600/49780171.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg0PlpEnti8K-bkegeQFG6AZ_l1EmB2jLF25yo-a7QmrGt5V1fB4khHEToAVwIWmpi0Jw2H8C-jkTUQcIXGLtgsp6CNiX3asU0lES00b1IWJNEKCvbXcfBFkfdZM8iPWFU3PV-92_zo37w/s320/49780171.jpg" width="320" /></a></div>
<b>3. Avenue de L´Opéra. Il fait froid: Lafontaine est sur mes pensées ou Balzac ou Molière. Qu´importe. Je suis ivre de mes lecteures. Maintenant je ne fais que regarder: en silence.Vers la Comédie Française. Quelle Comédie, la Vie!!</b><br />
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<b>4. Place de la Comédie Française. Les Fontaines pleuvent sans cesse dans la ville: aussi.</b><br />
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<b>5. Place Colette: "Je la lisais en cachette..." Géniale.</b><br />
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<b>6. L¨Entrée au Louvre... Rue de Rivoli. Je m´impatiente.</b><br />
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<b>7. La Pyramide sur la Cour du Palais du Louvre: elle nous est maintenant prête à nous attendre comme une amante russe froide comme l´acier, mais incroyablement fascinante. En contraste avec le Passé elle se réafirme plus magnifique que jamais.</b><br />
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<b>8. Inconnus passants sans soucis: ombres ou statues en noir et blanc.</b><br />
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<b>9. Je regarde par la fenêtre: le Carroussel et la Tour Eiffel. Il fait gris: comme quand on aime ou on écrit.</b><br />
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<b>9. Le Quai du Pont Neuf. La ville semble trop endormie encore.</b><br />
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<b>10. Je regarde à nouveau à travers les vitrines du Louvre: il y a une lumière étrange, comme si un directeur de cinéma voulait filmer l´instant. Ça pourrait être Saura et son Photographe, Nestor Almendros. Ou Moi. Ou Toi. Pourquoi Pas?</b><br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEginFS61JCdj2BVpSxC-u3TVKAkjwHvASvHHJ2i7eGB7SffeFeG7eruGqVy6vHycPmZB50xxM97xGEkytS3xNcqj19uTslQMSBd7PrI5jbr9cMTAOO5T7UhRJ0tJ9fxwEFVBMwCtHHNY50/s1600/49780209.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEginFS61JCdj2BVpSxC-u3TVKAkjwHvASvHHJ2i7eGB7SffeFeG7eruGqVy6vHycPmZB50xxM97xGEkytS3xNcqj19uTslQMSBd7PrI5jbr9cMTAOO5T7UhRJ0tJ9fxwEFVBMwCtHHNY50/s320/49780209.jpg" width="320" /></a></div>
<b>11. Une limousine blanche se croise entre le Palais du Louvre et mes yeux: nous n´y voyageons pas dedans.</b><br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhaZ5QRNEI75GBvCCj_AdOlx-O4tvCoXOQXrDxrDs7GEQDDyUKiX1SF38Z7iujq3lXJ8zTM3eFqGu0Y0cM9diTykrSQvfb5HyNwCUvigELST4hv0R6QmXNeTRsvUNQLgNLf8fUSg1ctm_Y/s1600/49780207.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhaZ5QRNEI75GBvCCj_AdOlx-O4tvCoXOQXrDxrDs7GEQDDyUKiX1SF38Z7iujq3lXJ8zTM3eFqGu0Y0cM9diTykrSQvfb5HyNwCUvigELST4hv0R6QmXNeTRsvUNQLgNLf8fUSg1ctm_Y/s320/49780207.jpg" width="320" /></a></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi9Arz2LPkicD2FK00uZvCW1hADgh5BlHlAqE-Fq68NKCcndErZAs2vPbB2wQxJlrQa6d6PRaQ78s5oq7WaUoZuMLrkPtGErXMxJXsQ5sil4VWWOFZcpuXrpDT9SmuB2Ev2s3Tfk_iiGx4/s1600/49780210.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi9Arz2LPkicD2FK00uZvCW1hADgh5BlHlAqE-Fq68NKCcndErZAs2vPbB2wQxJlrQa6d6PRaQ78s5oq7WaUoZuMLrkPtGErXMxJXsQ5sil4VWWOFZcpuXrpDT9SmuB2Ev2s3Tfk_iiGx4/s320/49780210.jpg" width="320" /></a></div>
<b>12. Les Bouquinistes sur les Quais: je cherche une vieille édition de Les Fables de Lafontaine. Je ne sais pas très bien pourquoi, mais je crois qu´elle me conduiront vers toi.</b><br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjTYeg8sY5eu-CSFXbcf1gTq7uHEDQjV1g-e85rMa_jGrRk8IuIdTtB1yyp1I-J5n4BQz9nyhR3WR2DBUvr1bq-hl9xLfP9Uu7xzLzwO75xj0fl8Y5M4YZWJfSwECFrz7NGix-bWlZH0lU/s1600/49780211.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjTYeg8sY5eu-CSFXbcf1gTq7uHEDQjV1g-e85rMa_jGrRk8IuIdTtB1yyp1I-J5n4BQz9nyhR3WR2DBUvr1bq-hl9xLfP9Uu7xzLzwO75xj0fl8Y5M4YZWJfSwECFrz7NGix-bWlZH0lU/s320/49780211.jpg" width="240" /></a></div>
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<b>13. Les Poulbots: où sont-ils vraiment?</b></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj3cx3jcr6i-OQlSpu4FYWUnSB08Wa0fChq00CdJT4rCjPPWKBU4dNoliZwOYhU1-c1RXAvGRjO3s8QlioOE-JokTc5S_FKjus3DeejmZwIkZ3nffu0TT9vQZlLrTZthwiaas7bSLqMF2M/s1600/49780212.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj3cx3jcr6i-OQlSpu4FYWUnSB08Wa0fChq00CdJT4rCjPPWKBU4dNoliZwOYhU1-c1RXAvGRjO3s8QlioOE-JokTc5S_FKjus3DeejmZwIkZ3nffu0TT9vQZlLrTZthwiaas7bSLqMF2M/s320/49780212.jpg" width="320" /></a></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjcKhf720rb7QRPMtvoJq8YEs9XH1tzcZpwk7RhXM__dvozSokaGO4Y_3IaO9-BLn8AubAOCzKZoPY2QyAvo95hrRGAPmUuTP1NtvppprYSGrYqJAJQkcJsi3cD9OI-nRlkq3HLP2eKqxk/s1600/49780213.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjcKhf720rb7QRPMtvoJq8YEs9XH1tzcZpwk7RhXM__dvozSokaGO4Y_3IaO9-BLn8AubAOCzKZoPY2QyAvo95hrRGAPmUuTP1NtvppprYSGrYqJAJQkcJsi3cD9OI-nRlkq3HLP2eKqxk/s320/49780213.jpg" width="320" /></a></div>
<b>14. Le Quartier Latin: une belle et vieille bagnole bleue comme un coeur qui fait mal se promène et nous emporte loin.</b><br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgn3DxYchzmtOhJmi5Z-E6wQt4t4os7fS6cAulmxjVGKvBKv0EX78LBnHvpn2i22nK4os-vEbvjnP8YonvGBFmffMkoMk1l3Bp5ThhBchrJ-feO83XXfZWen_UmwKAv9iP_H3IIZ7sCpjQ/s1600/49780216.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgn3DxYchzmtOhJmi5Z-E6wQt4t4os7fS6cAulmxjVGKvBKv0EX78LBnHvpn2i22nK4os-vEbvjnP8YonvGBFmffMkoMk1l3Bp5ThhBchrJ-feO83XXfZWen_UmwKAv9iP_H3IIZ7sCpjQ/s320/49780216.jpg" width="320" /></a></div>
<b>15. Notre Dame est toujours prête à nous embrasser dans nos souffrances mondaines: aujourdh´hui c´etait juste l´Epiphanie. La Révélation.</b><br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgdlH3GVI_gpbcLwnrOF9FrybgUHLXUBvNgi57cpvOeHhaTiaHBiDsCTVGPckk9c9chaHrc17nqp1kclsVYGWd-wqMC-CkpgeGmYo-ZIlgUWxCm-Rzh94RTlNZcTGmjNoyAgL4J6Rp8y_w/s1600/49780217.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgdlH3GVI_gpbcLwnrOF9FrybgUHLXUBvNgi57cpvOeHhaTiaHBiDsCTVGPckk9c9chaHrc17nqp1kclsVYGWd-wqMC-CkpgeGmYo-ZIlgUWxCm-Rzh94RTlNZcTGmjNoyAgL4J6Rp8y_w/s320/49780217.jpg" width="320" /></a></div>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5G1aNIRVnRE69CiNF2dFfbXMZRCbtcD4vsNFO1-BY3UR1HYuODxiPJLRwiH7SZHnb_KiCB06p6vtF0h-xYQYkVdg-cClyJKFj_sf6axMMj66M4fJv6Yez0OYFWhq6CRtM99AwEJxs29g/s1600/49780222.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5G1aNIRVnRE69CiNF2dFfbXMZRCbtcD4vsNFO1-BY3UR1HYuODxiPJLRwiH7SZHnb_KiCB06p6vtF0h-xYQYkVdg-cClyJKFj_sf6axMMj66M4fJv6Yez0OYFWhq6CRtM99AwEJxs29g/s320/49780222.jpg" width="320" /></a></div>
<b> 16. La Péniche ou Habite Un Artiste Inconnu.</b><br />
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<b>17</b>.<b> La Grande Roue: à l´entrée des Tuileries. Je ne comprends pas qu´est ce qu´elle fait là.</b></div>
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<b> 18.</b> <b>Avenue des Champs Élysées: Mon oncle Geo me promenait dans Paris dans une belle GS inmense comme un océan où j´appris à regarder la ville en silence sans baisser les vitres...tout doucement.</b><br />
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19. <b>Promenade au sang froid sur les Champs Elysées: sans Joe Dassin, une fois de plus.</b><br />
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<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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20. <b>Arrêt au Café Fouquets: un café? ou un aurevoir? Ils l´aimaient bien les Vieux Commandants à l´Occupation...</b><br />
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21.<b> Une fois de plus: le Champs de Mars. Nous l´aimons cette Tour de Fer comme un ventre tout ouvert. Un Enfer.</b><br />
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22. <b>Les automobiles noires: un amour clandestin.</b><br />
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23. <b>Les Manèges sans retour.</b><br />
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<b> 24. La nuit tombe lentement sur Paris: comme une éponge qui fait écouler de l´eau sur la peau douce. Vers la Place de la Concorde: voila l´Obélisque.</b><br />
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<b> 25. "__On dinera à Maxim pour tes vingt ans".</b><br />
<b> __Mais, c´est trop loin ça...</b><br />
<b> __ Mais non, ma chérie... Le Temps ça n´existe pas chez nous."</b><br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<b> 26. Temple de La Madeleine: il y a la Mariée du film "Blanc"....qu´y s´y marie.</b><br />
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27. <b>Café de La Paix (Place de L´Opéra): les gens parlent, parlent, parlent..."</b><br />
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28. <b>Mais elle: elle est trop seule. Mais elle écrit toujours. Toujours.</b><br />
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<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjCWSjWo8afslcpnz4iajfIPpOccA_mqIYxbDdjt67I6-0RljrFF-xV9NWtTdZ-ZBjhMWqrR99GIX2JTfM4iImT9MnmZsNva_x1DKcNMwpRAH0ZziAHmYV6383u9anLLbT5Rthn_MSksL8/s1600/49780167.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjCWSjWo8afslcpnz4iajfIPpOccA_mqIYxbDdjt67I6-0RljrFF-xV9NWtTdZ-ZBjhMWqrR99GIX2JTfM4iImT9MnmZsNva_x1DKcNMwpRAH0ZziAHmYV6383u9anLLbT5Rthn_MSksL8/s320/49780167.jpg" width="320" /></a></div>
<b> 29. Librairie de L´Avenue de L´Opéra: j´y rentre our y flâner. Je suis une flâneuse baudelerienne.</b><br />
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30. <b>Les Mannequins: il n´y a pas de femme sans Paris dans une belle robe.</b><br />
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31. <b>La Galette des Rois: la fève c´est toujours pour moi.</b><br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhVF37eGKSJkDm5_JpLoUdTlctewjIVAuU6i_hrpDJysZQWNvqSlPhqwdKNOnQtNCuQQtqL9nMIsxRx1-LEC0uSh97YDl2lzYe-ux4BZucb5YyHsslhvAWd68Z53ivn5vN5WRwWUqUwczo/s1600/49780174.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhVF37eGKSJkDm5_JpLoUdTlctewjIVAuU6i_hrpDJysZQWNvqSlPhqwdKNOnQtNCuQQtqL9nMIsxRx1-LEC0uSh97YDl2lzYe-ux4BZucb5YyHsslhvAWd68Z53ivn5vN5WRwWUqUwczo/s320/49780174.jpg" width="320" /></a></div>
<b> 32. Les Passages de La Comédie Française.</b><br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjhCKCfj8tzukqtnoKl732HkVfwe8MFq5rCram9pp3kh6rMMwcKtfEkdLnjeW0YcOWF0PiIkTmjeDtOLQgZ7a9SgZcNQh8jtw32BqM4qbl6pcPVUGEjUSh-aPsPkLByWOehFGCAqAKXGE0/s1600/49780178.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjhCKCfj8tzukqtnoKl732HkVfwe8MFq5rCram9pp3kh6rMMwcKtfEkdLnjeW0YcOWF0PiIkTmjeDtOLQgZ7a9SgZcNQh8jtw32BqM4qbl6pcPVUGEjUSh-aPsPkLByWOehFGCAqAKXGE0/s320/49780178.jpg" width="240" /></a></div>
<br />
<b>Poème: Paris Nº 5.</b><br />
<span style="background-color: #0b5394;">Un An</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;">Deux Ans </span><br />
<span style="background-color: #0b5394;">Trois Ans </span><br />
<span style="background-color: #0b5394;">Quatre Ans</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;"> Ou</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;">Mille Sans</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;"> Sens</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;">Regarde</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;">Le Passant</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;"> Sans </span><br />
<span style="background-color: #0b5394;"> Sang</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;">La Femme</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;"> Sans</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;"> Seins</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;">me semble</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;">un concert</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;">de Saint-Saens</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;"> Sans</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;"> Soing</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;"> Sans </span><br />
<span style="background-color: #0b5394;"> Sons</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;"> oui</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;">Paris s´éveille</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;"> oui</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;">Cinq Heures</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;">Ainsi Passent</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;"> Cinq</span><br />
<span style="background-color: #0b5394;"> Ans.</span>isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-14345199183287554672012-09-01T02:53:00.003-07:002012-09-01T02:53:48.352-07:00La Femme D´à Côté: Épitaphe.<b>Dialogues du film "La Femme d´à Côté" de François Truffaud</b> (1981).<br />
<br />
Madame Jouve propose cet épitaphe pour une histoire pas comme les autres ou comme autant d´histoires impossibles de couples/coups....<br />
<br />
<b>"Ni avec toi, ni sans toi"</b> (en espagnol aussi une chanson populaire: "ni contigo ni sin ti tienen mis males remedio..."<br />
<br />
Mais le dialogue qui vraiment nous bouleverse, épitome du code de la relation (comme dans tous les dialogues de Truffaud entre homme et femme où nous retrouvons des hommes en fuite, immatures, incapables de se rendre tout à fait, confus, en désorde. Comme si tout était un chaos d´emotions contradictoires où la femme se retrouve par hasard (elle revient comme une proche voisine vivre à côté de son grand amour passionné, dans un tout petit village de provence, près de Grenoble...ils seront condamnés à eux mêmes). Tragédie de provence. Le mari d´elle dira: "Je ne suis pas jaloux. Je ne suis pas un mari espagnol." Et c´est ironique...ce n´est même pas traduit dans la version en espagnol. Les français sont plus jaloux...sans doute (la scène quand Bernard comme un fou veut absolument embrasser Mathilde devant tout le monde car sa robe est tombée en public et elle monte se changer chez elle). C´est là que la tragédie commence ou même avant. Ils s´appelent en même temps au téléphone: la ligne occupée. Rien ne ourra les arrêter dans leur vie anodine et petite bourgeoisie.<br />
<br />
"Mathilde est revenue", comme dans la chanson française. Chez Truffaud, l´amour, comme toujours n´est qu´un jeux de mots croisés où tout se confond maladroitement. Les femmes sages comprennent cet impossible et finissent l´histoire, sans paroles, sans qu´il n´y ait d´issue. Truffaud, réaliste, mais il ose nous montrer le côté enfant de l´homme qui ne veut pas avouer sa vraie d´evotion pour la Femme ou les femmes qu´il aime (comme Jean - Pierre Léaud, éternel adolescent de ses films et son alter ego).<br />
<br />
Voilà ces mots si simples que les amants se sont dit dans leur passé dont ils ne peuvent fuir malgré eux et qu´ils se répètent à chaque rencontre d´amour:<br />
<br />
Mathilde (Fanny Ardant):"_<b>_ Attends...</b><br />
Bernard (Gérard Depardieu):___ <b>Oui, j´attends. J´attends."</b><br />
<br />
<br />
Bernard: "_<b>_Attends..."</b><br />
Mathilde: "<b>Oui, j´attends. J´attends."</b><br />
<br />
En tout cas, c´est à nous toujours d´attendre. C´est dans l´attente que la vie ou le plaisir passe vraiment...<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhEc5pAowtUW9Ljot7nIw50Y5LrK2ro15UE-SVnxFHWwCN6HCy9ZdqRyTkjniIhNtowht8A1yqJt_eCQ0aFMAj9sfB-hap6LcwUW1loWS3T08C4Ly9HRIUSGe6v1LIKDU5LwsWOuNcjuQQ/s1600/la-mujer-de-al-lado.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhEc5pAowtUW9Ljot7nIw50Y5LrK2ro15UE-SVnxFHWwCN6HCy9ZdqRyTkjniIhNtowht8A1yqJt_eCQ0aFMAj9sfB-hap6LcwUW1loWS3T08C4Ly9HRIUSGe6v1LIKDU5LwsWOuNcjuQQ/s320/la-mujer-de-al-lado.jpg" width="224" /></a></div>
<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi6Ako53t4wyR_fLLutmlHVkhD8AdAffr1rfRbTQ4Yk2-pI-mrRy5tvoB-MzgN4ecPQ2vKDybaHFB9xtQI87tE1FLpSV7EP74f8dWTO10q3BUrRG582ZKFJnxNMBrAt07P3uRt-eDXCXQQ/s1600/678809241_small.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi6Ako53t4wyR_fLLutmlHVkhD8AdAffr1rfRbTQ4Yk2-pI-mrRy5tvoB-MzgN4ecPQ2vKDybaHFB9xtQI87tE1FLpSV7EP74f8dWTO10q3BUrRG582ZKFJnxNMBrAt07P3uRt-eDXCXQQ/s320/678809241_small.jpg" width="230" /></a></div>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0j4IPf0zABOx7WKd5vqSQxOIF878YEb3I0JY2wYnm9dM5JKAsZw4PZ1N-Rt4Jhb3bUmZQFrP_fonFhCyX-tTG3WuqyRaZvAjbIV3O1FUvN7WfyBAp-dBqKWod2aoGzs057TqnYXGQhxQ/s1600/les+400+couples.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0j4IPf0zABOx7WKd5vqSQxOIF878YEb3I0JY2wYnm9dM5JKAsZw4PZ1N-Rt4Jhb3bUmZQFrP_fonFhCyX-tTG3WuqyRaZvAjbIV3O1FUvN7WfyBAp-dBqKWod2aoGzs057TqnYXGQhxQ/s320/les+400+couples.png" width="174" /></a></div>
<a href="http://members.multimania.co.uk/fannyardant/parismatch122003_fr.html">http://members.multimania.co.uk/fannyardant/parismatch122003_fr.html</a>
isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-40707227855609941482012-06-23T10:16:00.004-07:002012-06-24T05:57:50.695-07:00Anna Gavalda et "La Consolante": L¨Éternelle Pastorale Parisienne.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjh7h_WmFWKH9zkxFCbGzo3VJ-sbSta4JufegZMrCkhnN6QWQVzDdbJjwLHhfmRMN4J01Dh2KJSbY5IICkBtzhyFCbvH4R0RuwTrb9_LTdOePRZtIQ9iNxJHz1XPpEuQy1fD515id4RV-8/s1600/A-voir-cette-semaine-Ensemble-c-est-tout_portrait_w674.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="254" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjh7h_WmFWKH9zkxFCbGzo3VJ-sbSta4JufegZMrCkhnN6QWQVzDdbJjwLHhfmRMN4J01Dh2KJSbY5IICkBtzhyFCbvH4R0RuwTrb9_LTdOePRZtIQ9iNxJHz1XPpEuQy1fD515id4RV-8/s320/A-voir-cette-semaine-Ensemble-c-est-tout_portrait_w674.jpg" width="320" /></a></div>
Photos du film <i><b>"Ensemble c´est tout"</b></i>/<i><b>"Juntos nada más"</b></i>, sur le roman d´Anna Gavalda avec Audrey Tautou. et Guillaume Canet: "C´est difficile de flirter avec une fille intelligente" : À ta santé!!!<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiffBGwewPo7Jw8lgkJb0bcIyA-VU_ZhkFJQsmnzd-cD6_weHjGklhSIFyNXgweD3iqZT_2sJ6IZzNr1P0qHJPhq9yd0MI026wk5xMC3hw8xs58t3Ou7-xuuZtn0aWBg602Cx42smIrmCw/s1600/ensemble+c%C2%B4est+tout.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiffBGwewPo7Jw8lgkJb0bcIyA-VU_ZhkFJQsmnzd-cD6_weHjGklhSIFyNXgweD3iqZT_2sJ6IZzNr1P0qHJPhq9yd0MI026wk5xMC3hw8xs58t3Ou7-xuuZtn0aWBg602Cx42smIrmCw/s1600/ensemble+c%C2%B4est+tout.jpg" /></a></div>
Si il y a quelque chose que les parisiens et les parisiennes, malgré tant aimer leur ville comme on jouit d´ une forêt fournie de fougères vertes après une pluie d´ été, c´est l´idéal de vivre à la campage: rien de plus beau et poétique que d´imaginer une vie dans un petit village dans une belle maison de pierre après avoir fait une longue promenade à Fontainebleau...Ou vivre un mois de juin en Normandie: la Pastorale éternelle ou cet Eden envisagé comme l´horizon où s´accomplissent les prix de soulagement d´une vie pleine d´enjeux et de manque de presque tout: ce repos mérité d´une vie trop dure et fade abrutie par l´air de<i> l´urbis</i> froide et distante. Qui nous tue de son indifférence malsaine.<br />
L¨ecrivaine Anna Gavalda, profondemment suivie en France et (en Espagne), avec d´autres titres comme<i> <b>"Ensemble c´est tout"</b></i> ou "<b><i>Je L´aimais"</i> et "Je voudrais que quelqu´un m´attende quelque part" et "traduite" au cinéma avec Audrey Tautou (chez "Ensemble c´est tout"/"Juntos nada más"</b> nous emmène dans son roman <b><i>LA CONSOLANTE (2009)</i></b> içi vers ce paradis où nous aimerions autant y passer le reste de notre vie: cette ferme où vit cette jeune femme (Kate) moitié française et anglaise qui après avoir souffert de terribles pertes s´éloigne d´un monde qui lui a fait trop de mal pour soigner loin de Paris ses "petits coeurs. Ses enfants adoptifs (ceux que personne ne veut plus, et vivre donc entre fleurs, plantes, et animaux pour réconstruire sa vie dans le jardin négligé qu´elle re-cultivera avec amour, soin et diligence et courage pour y acceuiller cet homme (un architecte avec succès marié avec enfant en crise de 50...à Paris) qui par hasard y arrivera un jour "en campagne" jusqu´à sa porte...sa grille rouillée. La porte de cette propriété où elle lui invitera à découvrir son vrai <i>self</i>: lui qui aura, petit à petit, la chance d´être tout simplement heureux avec une nouvelle vie tout devant soi. Poursuivi par " un fantôme" de son passé de l´enfance (son amour pour une jeune femme, la maman de son meilleur ami, morte récemment) qui lui conduira vers cette jeune femme étrange et un peu féerique des bois, quand il ira visiter son ami après le décès de sa mère qu´il avait aimé lors de sa jeunesse: une femme plus âgée que lui, pour qui il avait senti une passion interdite...dans la banlieue parisienne.<br />
Le bon passé souvent nous pousse vers d´autres issues dont nous n´aurions jamais pû y arriver seuls: Paris ne sera qu´un écho de ce passé dont il doit se libérer. Et sa vie changera pour toujours, une fois connue cette créature étrange et télurique qui lui montrera que le bonheur et l´espoir se trouvent bien souvent plus près de la Nature que de nos réussites mondaines ou professionelles ou excessivement bourgeoise?: cette nature qui nous échappe... <span style="background-color: black; color: magenta;">Mais, n´est ce donc pas le culte pour "the </span><i style="color: magenta;">country-side"</i><span style="background-color: black; color: magenta;">ou "la campagne" le plus "bourgeois" et "aristocratique" des inventions pré-révolutionaires?</span><br />
<span style="background-color: black; color: magenta;">Loin des idées... le roman souligne l´importance de vivre avec plaisir le présent et jouer pour le plaisir de jouer...même dans les relations personnelles. Et pour le plaisir d´être heureux il vaut bien une fois au moins dans la vie jouer "La Consolante" (très mal traduit en espagnol comme<b><i> "El Consuelo"</i></b>). Car si il y a quelque chose que l´on adore en France, c´est bien sûr jouer à la pétanque!!! Et voila ce que "La Consolante" veut dire...</span><br />
<span style="background-color: black;"><span style="color: magenta;">Voudrais tu toi aussi jouer <i><b>"L</b></i><i><b>a Consolante"</b></i> avec moi? Lisez donc cette magnifique oeuvre écrite avec la difficulté de l´apparente simplicité.. <b>Madame Gavalda</b> (née à Boulogne Billancourt -comme mon papa- où il y restent bien encore tous les esprits de notre passé) a ému les parisiens et les parisiennes dont on dit qu´ils ont le coeur si froid... Quel rêve vivre dans ce jardin de l´ espoir! Jouons donc, seulement pour notre propre plaisir, pour ne pas perdre ni gagner: jouons notre dernière "manche" (partida o "mano" en espagnol) "Consolante": voilà un extrait:</span></span><br />
<br />
<span style="color: magenta;"><br /></span><br />
"Marc ramassait les boules perdues quand Kate annonça:<br />
_Allez! <b>La consolante et après on y va...</b><br />
<b><br /></b><br />
<b>_</b>Qu´est ce que c´est? demanda Charles inquiet, un genre de tord-boyaux?<br />
Souffla sur sa mèche:<br />
<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizpzTFMyUzfBSJi7dQvwDaJHdulM6kDsHE2e9iUsPve3TXFIAIzXEeHjFu28Pg2eUozZXI7GytCmc_3dcdVA8t6BRy6EqZE5Fn1raWQMqj9gqtNn9UnwbhGYCUdZDaYcF80s1ur2l4bOk/s1600/la+consolante.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizpzTFMyUzfBSJi7dQvwDaJHdulM6kDsHE2e9iUsPve3TXFIAIzXEeHjFu28Pg2eUozZXI7GytCmc_3dcdVA8t6BRy6EqZE5Fn1raWQMqj9gqtNn9UnwbhGYCUdZDaYcF80s1ur2l4bOk/s320/la+consolante.jpg" width="218" /></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgT1dZHTwkXDPo3Rw1XSg9NLhQchrpE_fkDPmJZeCb50HISY7vOhZJP6Jho6wNNpcxw2N8AiS-AssMXpayJWaGdrrXjXdQ4WGU4JjKSkOA9PZBzxSM7ymZAN4t_FQFPfpPQWIfmeXON1yI/s1600/rencontrez-anna-gavalda-librairies-mars-L-1+(1).jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgT1dZHTwkXDPo3Rw1XSg9NLhQchrpE_fkDPmJZeCb50HISY7vOhZJP6Jho6wNNpcxw2N8AiS-AssMXpayJWaGdrrXjXdQ4WGU4JjKSkOA9PZBzxSM7ymZAN4t_FQFPfpPQWIfmeXON1yI/s1600/rencontrez-anna-gavalda-librairies-mars-L-1+(1).jpeg" /></a></div>
<br />
" De quoi? La consolante? dit-elle. Vous n´avez jamais entendu ce mot-là?<br />
-Non.<br />
-Eh bien...Il y a la première manche, la deuxième, la belle, la revanche, et <b>la consolante. C´est une partie pour rien...sans enjeu, sans compétition, sans perdants...Pour le plaisir, quoi...</b><br />
<b>Charles joua parfaitement et permit à son équipe de gagner...d´honorer ce mot magnifique. La consolante"</b> (p.<b> </b>578).<br />
Anna Gavalda.<b> </b><i><b>La Consolante.</b> </i>Le Dilettante. Paris. 2008.isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-55154408690994260692012-06-09T06:06:00.001-07:002012-06-24T06:04:17.759-07:00Marguerite Duras et ´Amant: la traversée du Mekong dure toujours.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjW-JN4QXvYICjLvC6DjEyRSSdo8EM5zurSMG6M7Tz0whzA4FTt-THa7sna6Bc4_YDr4NJX2C3TZBf-ELqn_afremr0vUvAJO7OPAa2EwMy_0eWPp3Bo8D76Zs1g9WxuOMkjMEdI6b0suA/s1600/images.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="138" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjW-JN4QXvYICjLvC6DjEyRSSdo8EM5zurSMG6M7Tz0whzA4FTt-THa7sna6Bc4_YDr4NJX2C3TZBf-ELqn_afremr0vUvAJO7OPAa2EwMy_0eWPp3Bo8D76Zs1g9WxuOMkjMEdI6b0suA/s320/images.jpg" width="320" /></a></div>
Extraits du film, <i>L´Amant. (ces espaces fermés...une limousine noire).</i><br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhxG5bP8kH3xdFqJLNZfCg0uyqUIm7KrE4xxIH0l1K9xi01BPMvic_srRKx-UX-TSCBQf0GjSVUovrWG_u4MMOMVeSswaNvy1cgJHQJ3GwpuKFdaihXW6qP-XQq10wVc8cmndABj7PG-f8/s1600/lamant01297672-photo-l-amant-.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="247" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhxG5bP8kH3xdFqJLNZfCg0uyqUIm7KrE4xxIH0l1K9xi01BPMvic_srRKx-UX-TSCBQf0GjSVUovrWG_u4MMOMVeSswaNvy1cgJHQJ3GwpuKFdaihXW6qP-XQq10wVc8cmndABj7PG-f8/s320/lamant01297672-photo-l-amant-.jpg" width="320" /></a></div>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQ6TFH6BoueTgERiWjQVbd1mFzH5HE-IyB-H5pkDpxqA2iRNKLwFA5tQ1EZHfl7bjq6_IrrNJDg_o72Q97iFMCYyBrOmWBtm48ujUMjojN9Jnc4RNvxDmEKnqRO8LeIG2Hys90xOLT8P4/s1600/premium_etbs437348_img39c63beebcee7e5.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="212" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQ6TFH6BoueTgERiWjQVbd1mFzH5HE-IyB-H5pkDpxqA2iRNKLwFA5tQ1EZHfl7bjq6_IrrNJDg_o72Q97iFMCYyBrOmWBtm48ujUMjojN9Jnc4RNvxDmEKnqRO8LeIG2Hys90xOLT8P4/s320/premium_etbs437348_img39c63beebcee7e5.jpg" width="320" /></a></div>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4rKvsgE-atA2pfGw9yGei4pyip7GAWldat5tnrEaBq61F9wFDdGVJEZwaJ8XmYuuunTh9dyDiMnR1GprV2QysBxHXIIRGk_k-i32VhJIlou7jJJxd1DuFw0ZVkEZrKnlBtbePvd0q1ZU/s1600/marguerite-duras-pleiade-L-OnSGlY.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4rKvsgE-atA2pfGw9yGei4pyip7GAWldat5tnrEaBq61F9wFDdGVJEZwaJ8XmYuuunTh9dyDiMnR1GprV2QysBxHXIIRGk_k-i32VhJIlou7jJJxd1DuFw0ZVkEZrKnlBtbePvd0q1ZU/s1600/marguerite-duras-pleiade-L-OnSGlY.jpeg" /></a></div>
Photos de Marguerite Duras.<br />
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<i>L´Amant</i> de Marguerite Duras ou l´eternelle traversée du Mekong où j´en suis toujours. Je suis revenue à ce livre après quelque temps comme on revient vers un ancien amant. Je souligne touojours son début qui m´a "dévasté". Mon visage est aussi si dévasté: lisez moi sur ces traits car je suis aussi défigurée par le temps, par ceux qui sont toujours en moi: sur ma peau, sur mes yeux qui relisent un texte que je n´ecrirai moi-même jamais, mais que je relis en nous, étalés nos regards sur une rivière du sud où nous regardons y passer les bateaux qui vont vers l´Atlantique... Nous lisons les mêmes livres que nous aurions dû lire ensemble il y a longtemps: maintenant, une différence de nos jours: nous les vivons. Nous écrivons un roman chaque jour en nous: de nos gestes, de tout ce qui nous soutient. N´importe qui peut-être cet enfant de L´indochine. N´importe qui, le riche chinois qui la caresse toujours. Qui l´appelera. Qui mourra pour elle. N´importe qui peut récrire l´histoire d´un Amant. L´Histoire oblique du désir, du corps que nous voulons nier. Notre âme est inscrite sur notre corps: mème malgré le temps. Notre corps est notre vraie histoire.isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-42068977842984524522012-05-18T08:24:00.001-07:002012-06-09T05:50:29.941-07:00"La Peau Douce" de Françoise Dorléac ou la belle petite soeur de Catherine Deneuve: réflexions.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBo8JAI2oA7G8D-HuzLl_Sa5DMfc7VXX9mboyUx9nr6MOqyzciRIqNoOHG2q2NN_0vC1ytY_ZvWSyxcAff4lh-cwbRuJT2tsYvCxmdUYV68AXjAbCuXv-VQM1QjE6Irk1vIOsRtvp6NQc/s1600/49868.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" kba="true" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBo8JAI2oA7G8D-HuzLl_Sa5DMfc7VXX9mboyUx9nr6MOqyzciRIqNoOHG2q2NN_0vC1ytY_ZvWSyxcAff4lh-cwbRuJT2tsYvCxmdUYV68AXjAbCuXv-VQM1QjE6Irk1vIOsRtvp6NQc/s1600/49868.jpg" /></a></div>
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Il y a quelque temps que je n´écris pas. Il fait trop chaud au Sud. Je ne sais pas vraiment pourquoi il me semble que les belles hôtesses de l´air d´avant ne retrouveraient plus des hommes mariés avec qui elles auraient des affaires amoureuses... comme l´avaient eue la belle petite soeur de la Divine Deneuve: Françoise Dorléac, trop douce et trop jolie, comme sa peau pour être réelle...avec cet homme tout gris, simple, intellectuel, qui croit se sentir si bien dans sa peau...dans sa femme...dans ses livres...dans sa belle voiture... dans son bel appart. parisien, avec épouse à l´air italien, et qui soudain traverse la ligne du désir, du petit caprice du bourgeois qui a atteint le somme de ces succès et qui envisage une petite affaire pour exciter son triste quotidien, mais qui ne compte pas sur les risques de la tragédie que tout mensonge enchaîne: une fois racontée le désir de la rupture à l´épose vaut-il mieux tout dire, sinon se taire. Désir. Danger.<br />
Aujourdh´hui ces vieux films nous emmenent vers ces univers de petite bourgeoisie qui se répètent peut-être quelque part au Nord, au Sud où l´amour et le désir se vit un peu différemment ou pareil: en noir et blanc. En 3D, mais en fin de compte, toujours la trahison... La femme, la belle italiennne qui va au restaurant et...qui elle même ne savait pas les démons qu´en elle vivait: la brune et la petite blonde confrontées.<br />
Si vous allez à Lisbonne et vous prenez un avion, mademoiselle, jamais n´ayez rien à voir avec un passager inconnu de Paris...surtout si vous rêvez de devenir hôtesse de l´air: Les histoires d´amours comme les voyages en avion de nos jours sont devenus "Low Cost". Rien comme l´amour chez Truffaud: tragique. L´amour est toujours tragique, à la fin. Et viceversa...si vous vous appelez ou pas maître de conférence "Pierre Lachenay"... fuyez des belles Françoises avec ce look des années soixantes et peut-être re-vécu en 2012.Tout dans cette histoire est frustré. C´est ça le plus triste. Rien ne s´accomplit avec succès... même pas les rendez-vous furtifs à la campagne... que les amants imaginent et veulent partager ensemble... les rencontres dans les hôtels de Paris qui sont complets... la nuit que les amants veulent être ensemble...la belle Françoise s´endort comme une petite fille épuisée d´un séjour frustrant qui ne lui laisse que le baiser furtif d´un homme timide qui lui enlève ses bas, comme si c´était presque une douce violation de son corps qui garde une certaine innocence et pudeur: cette peau douce dont elle ne sentira plus rien: juste ses bas sur elle. La Peau douce à peine touchée... Qui te connait Françoise de ses temps? Morte trop jeune. C´est ridicule mourir à Nice par un accident d´automobile, quand tu aimais voyager en belle GS dans les grands boulevards... Tu étais trop douce et voilà pourquoi tout a fait STOP dans ta vie!! Tu étais aussi belle qu´elle!isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-61635711373768648662012-02-06T03:04:00.000-08:002012-02-06T13:23:14.672-08:00"Carmen" de Carlos Saura ou Prosper Mérimée ou Bizet: "La Femme" à Séville<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizyjdK8rfZMQ-LRWMfvpqbqECUUzwPJANWCbP5i-FPvEnkaeetav5-TP9NAsdoH9G_ceqSasP3YNXr1Cld5GCZLr3t8Fu2Euqp017SRcq_3Ivc5OfZmggqMjMUAk4LWwBmgT2TaAFBndI/s1600/4134.jpg"><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 279px; DISPLAY: block; HEIGHT: 400px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5706134833743503394" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizyjdK8rfZMQ-LRWMfvpqbqECUUzwPJANWCbP5i-FPvEnkaeetav5-TP9NAsdoH9G_ceqSasP3YNXr1Cld5GCZLr3t8Fu2Euqp017SRcq_3Ivc5OfZmggqMjMUAk4LWwBmgT2TaAFBndI/s400/4134.jpg" /></a><br /><br /><br /><div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjV3jYjTG7Qp0q4ad8Hkpllg-a9rLq7FnOdCEByqGlFMacLmHi0MgsqC3qWHwXEI71T89TVRpPkfQ1xlrBuqjTdm9bdFWsY9RUgmkOf_dp8SIhaGF5uGlgTg_py1PAECMCEaqSzGwb9yr4/s1600/891_I_V_carmen.jpg"><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 262px; DISPLAY: block; HEIGHT: 400px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5706134304697350658" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjV3jYjTG7Qp0q4ad8Hkpllg-a9rLq7FnOdCEByqGlFMacLmHi0MgsqC3qWHwXEI71T89TVRpPkfQ1xlrBuqjTdm9bdFWsY9RUgmkOf_dp8SIhaGF5uGlgTg_py1PAECMCEaqSzGwb9yr4/s400/891_I_V_carmen.jpg" /></a><br /><br /><br /><br /><br /><br /><div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhjNFWSxXoA50UuoQtCJIyy9jNWv2XMuv3VzSQT0wTHbG6NasBxGBdx5_cv4DCLthwDjdPJYvkqecuIMv0HTFH5vOZ87SRq7TH8OqCqx2xV0EAL4zok0f4pYpxMGABlv3bvll8Ke-bhQ8g/s1600/83carmen.jpg"><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 400px; DISPLAY: block; HEIGHT: 296px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5706134172267395298" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhjNFWSxXoA50UuoQtCJIyy9jNWv2XMuv3VzSQT0wTHbG6NasBxGBdx5_cv4DCLthwDjdPJYvkqecuIMv0HTFH5vOZ87SRq7TH8OqCqx2xV0EAL4zok0f4pYpxMGABlv3bvll8Ke-bhQ8g/s400/83carmen.jpg" /></a><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhyEjB1fzuiH0hZGwNVndiilsnYbOvXX5ngBAK7cJiQskmJi17kubSOOxdJ4sX7JqlSbAnDSSP7zcZ948MngKc8blwzuc6C8gUsyJWr-dYaMBbgwWb24tGXgawA9uq8axcOWGEsxq0NgEE/s1600/carmen_02.jpg"><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 400px; DISPLAY: block; HEIGHT: 239px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5705985771335364642" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhyEjB1fzuiH0hZGwNVndiilsnYbOvXX5ngBAK7cJiQskmJi17kubSOOxdJ4sX7JqlSbAnDSSP7zcZ948MngKc8blwzuc6C8gUsyJWr-dYaMBbgwWb24tGXgawA9uq8axcOWGEsxq0NgEE/s400/carmen_02.jpg" /></a><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgh44_-Tu4OlwlqoaUElF3Pp6l_3n7RwalWr7zYTAjBBfBy4mm61iVKj3tIXFXaHae84UJIB3IymP4VoQbk0MBldTYxHM-Er7_ZYnotJFMnQY6P6uBP7_vhdG8dZGjkPqDJ7usvlfjDfBg/s1600/carmen_01.jpg"><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 400px; DISPLAY: block; HEIGHT: 239px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5705985615210032802" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgh44_-Tu4OlwlqoaUElF3Pp6l_3n7RwalWr7zYTAjBBfBy4mm61iVKj3tIXFXaHae84UJIB3IymP4VoQbk0MBldTYxHM-Er7_ZYnotJFMnQY6P6uBP7_vhdG8dZGjkPqDJ7usvlfjDfBg/s400/carmen_01.jpg" /></a><br /><br /><div>Dans le film de Carlos Saura, <em><strong>CARMEN </strong>(Film très apprécié en France),<strong> </strong></em>Antonio Gades dit à "Carmen/Laura del Sol" ( actrice et danseuse de flamenco espagnole qui vit à Paris) que l´important dans la danse "c´est la distance qu´il y a entre un pas et l´autre, ce qui se passe entre un pas et l´autre, pour y arriver où on veut. " "Tous mes pas m´ont conduit vers toi." "Tout le monde connaît "Carmen." Le Mythe. Le Personnage. Si il y a une voix entre le froid Nord étranger et le Sud violent, elle parle à travers le récit du français romantique voyageur, Prosper Mérimée, sans doute et l´opéra de Bizet. Tout le monde en parle d´elle. Pas gitane, plutôt "bohémienne, l´appelle t-il. Mais qui est vraiment "Carmen"? La femme? On se le demande toujours. Elle vit presque dans toutes les femmes qui lui ressemblent un peu. Mais pour l´apercevoir un peu plus près, en chair et en peau, il faut descendre jusqu´au Sud. Séville est son corps. La ville lui plaît et elle y reste, elle y travaille aussi. La Fábrica de Tabacos. Elle y vit elle y meurt, sutout, elle y meurt. Au Sud. Elle y respire, elle y danse et surtout, elle y a aimé, elle y aime et elle y est aimée. Plutôt désirée? Elle y avait était aimée. Soyons précis. Avant. Maintenant. Toujours. La Passion ou le désir ou l´amour. La Souffrance. Ce n´est pas un peu le même? Cette ville du Sud est son sang, sa peau, ses reins, ses pas, sa bouche, ses dents, ses vêtements, sa noire "mantilla" de dentelle fatidique écrasée sur ses cheveux, ses chaussures, ses bas, ses mains, ses jambes, sa ceinture, ses seins, ses doigts, ses yeux dont son regard félin, sa tendresse, sa cruauté, sa liberté, sa fièreté, son rire, sa volupté, son innocence, ses caprices, ses mensonges, ses amants, ses vierges, ses saints, ses tauraux, ses églises, ses cierges, ses ruelles, ses jardins, ses fontaines, son eau, ces cieux, ses enfers, ses quartiers, ses arenas, ses chevaux, ses labyrinthes, ses odeurs, sa fleur de casia entre les dents, ses sons, ses chats, ses éventails, ses croix, ses pasodobles, ses seguirillas, ses étrangers voyageurs, ses chapelles, ses voleurs, ses français, ses soldats, ses toréadors, ses maléphices, sa vie...sa mort."<br /><br /></div><br /><div>"Toda mujer es hiel. Pero tiene dos momentos buenos: uno en el tálamo; el otro, al morir." (Páladas). (Meandro, S. IV. d. C). Inscription que Mérimée choisit pour "illuster" l´ essence de L´éternel Féminin chez "Carmen." Mysoginie? Ou dévotion?Vous pouvez "traduire" l´idée et la citation, selon votre expérience, et connaissance. Si non, venez vers Séville pour la goûter. Jean Luc Godard aussi a filmé sa très particulière vision du Mythe espagnol: <strong>"Carmen". </strong>J´y reviendrai un jour.</div></div></div></div></div>isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-62303500420454628782012-01-17T04:43:00.000-08:002012-01-24T08:26:07.790-08:00"La délicatesse" de David Foenkinos: je me régale à sa lecture pendant que je glisse dans le métro du Sud!<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXCFIqYXY5eytjA00s3fnXR-5qHw24Ev4_4xzwrCPq4JwiDnUuiVOjJ3L-rGp9Qeh5r1cB1VkMT3-Sq-lUueHRLDuhLgDcw8dU71t-djUJHJrbcabpm4474I8hYED3YLRwTeWI0_NswYY/s1600/67770330.jpg"><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 300px; DISPLAY: block; HEIGHT: 400px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5700780734032261378" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXCFIqYXY5eytjA00s3fnXR-5qHw24Ev4_4xzwrCPq4JwiDnUuiVOjJ3L-rGp9Qeh5r1cB1VkMT3-Sq-lUueHRLDuhLgDcw8dU71t-djUJHJrbcabpm4474I8hYED3YLRwTeWI0_NswYY/s400/67770330.jpg" /></a><br /><br /><br /><br /><div>PHOTO SUR "LA DÉLICATESSE" (auteur de ce blog). </div><br /><br /><div></div><br /><br /><div>Il faut absolument qu´aujourdh´hui j´ecrive quelque mots à l´occasion de cette étrange coïncidence ... Magique, irréelle... presque. Hier même, on me proposait de ne pas oublier le Roman "<strong>Rayuela" ("La Marelle",</strong> traduit en français) <strong>de Julio Cortázar</strong> comme un point de regard sur Paris, via un étranger en espagnol, pour ainsi faire référence à cette littérature qui a fait de Paris sa "première femme" et y en parler içi. La réponse ne se fût pas attendre, car je disais l´avoir lu et l´avoir même considéré, bien sûr!, mais je n´avais sans doute pas fait de référence avant, question de temps, question d´oubli... Et voilà que je tombais sur <strong>"Rayuella"/"La Marelle"</strong> "indirectement" et je la retrouvais hier soir même, ainsi qu´à moi même aussi un peu, pendant que je lisais atonite ces lignes: je sautais comme une petite fille sur tous les carrés de <strong>"La Marelle" </strong>pour aller un peu juqu´au ciel.<br />Comme par hasard je suis tombée sur <strong>Cortazar </strong>à travers du nouveau <strong>Roman de David Foenkinos, "</strong> <em><strong>La Délicatesse" </strong>(que je découvrais dans mon dernier court voyage à la Ville). J</em>e le lis à ce moment après être rentrée du Nord comme un petit caprice délicieux que je me permets comme repos à d´autres lectures plus "dangereuses". je le lis pendant ces bouts de vie fragmentée que nous offre le quotidien <strong>au lointain Sud: </strong>dans les natures mortes des instants où j´attends le bus, ou assise dans le métro (les gens commençent à lire plus dans les nouveaux wagons pulchres des trains du Sud, en essayant d´imiter peut-être ce qu´ont fait pendant presqu´un siècle nos amis du Nord pour éviter ainsi regarder les yeux des autres passagers pendant ces pénibles heures de voyage en train pour rentrer à la maison de la <strong>Cité </strong>jusqu´à la grise banlieue.<br />J´aime lire aussi pendant que j´imagine que que quelque chose d´uncontrollable se passe pendant que je bois, moi aussi un thé, et non un déca, ou un jus d´abricot, souhaitant que rien de fatidique ne se passe... (Comme chez "Nathalie" dans <strong>"La Délicatesse"</strong> quand elle interrompût la lecture de son roman russe... et soudain toute sa vie changea...).<br />À Paris, la version du roman en film s´offrait comme un vrai bijou à la rechercde du doux visage perdu d´ange parisien-chic d´Audrey Tautou (qui est vraiment la nouvelle Audrey Hepburn et non Pénelope Cruz!). Je dégustais les premières lignes du roman comme si je dégustais <strong>un exquis marroon au chocolat</strong> ou bien un doux <strong>éclair au café </strong>ou<strong> une religieuse au chocolat</strong> fondant dans ma bouche- bouche-bée.<br />Les gens faisaient la queue pour le cinéma Gaumont-Opéra ce passé weekend de L´Épihanie sur le Boulevard des Italiens, pour se régaler un peu à nouveau, comme nous l´avions fait avec la magique "Amélie", avec le portrait presque "sublime" de la "l´éternel féminin" que "Nathalie/Audrey Tautou" représentent dans ces deux textes et qui facinent toujours le public français. </div><br /><br /><div><br />Mais je ne suis pas rentrée. j´ai suivi d´autres itinéraires dans la ville... que j´ai trouvée cette fois çi plus "littéraire" que jamais... plus figée que jamais dans mon regard. Pressée par une pluie fine et froide je n´ai pas eu le temps d´aller à la salle de ciné alors et j´ai préfére aborder ce texte plus tard, de loin... à travers ses paroles en "premier" avant qu´en images... et aller me promener dans le quartier de L´Opéra.<br />Je rentrais au Sud plus tard et je lisais ces lignes du Roman, peut-être pour continuer un peu à Paris, mais surtoût en réponse "sophistiquée" à la suggestion qu´on m´avait faite, le jour avant, comme par hasard, de ne pas oublier <strong>"Rayuela"/"La Marelle"</strong> de Julio Cortázar et surtoût de reconnaitre que, quelques fois, il peut bien nous être arrivés, d´avoir, comme Nathalie, rencontré un homme -inconnu "une fois" qui nous a/avait soudain abordée dans la rue et qu´il soit à travers le temps, quelqu´un...dans notre vie, comme très bien on nous raconte chez ce roman. Des fois la réalité fait partie d´un roman, ou bien notre propre réalité est en soi-même un roman.<br />C´est bien ça le <strong>"réalisme magique"...</strong><br />Je prendrai des photos que je montrerai plus tard. Voilà ce que j´ai lu hier soir... pour vous convaincre:<br /><br />"Nathalie regardait ce garçon qui n´était plus un unconnu , dont les particules de l´anonymat s´effaçaient progressivement sous ses yeux. Elle essayait de se rapppeler où elle allait au moment où elle l´avait rencontré. C´était flou. Elle n´etait pas du genre à se promener sans but. <strong>Ne voulait-elle pas marcher dans les traces de ce roman de Cortázar qu´elle venait de lire? La Littérature était là, maintenant entre eux. Oui c´etait ça, elle avait lu "La Marelle", et avait particulièrement aimé ces scènes où les héros tentent de se croiser dans la rue, alors qu´ils arpentent des itinéraires nés de la phrase d´un clochard. Le soir, ils refaisaient leurs parcours sur une carte, pour voir à quel moment ils auraient pu se rencontrer, à quels moments ils avaient sûrement dû se frôler. Voilà où elle allait: dans un roman." </strong>David Foenkinos. <em>La délicatesse. Folio. Gallimard: p. 16.</em></div>isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-80771795218943071792011-10-24T00:39:00.000-07:002011-10-24T01:09:31.377-07:00Luz Casal à Séville<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCo7GyR7UU_aff8ANVcMxpQRmPd-ezpgtifMCN-wgZPHLjByNLrja3JlwezJxlfTGXugkTC2D0k7z2N8M2CrCmuoe9gEtrDvttgF9aXt2-DsuPrT3PF9hj3zK2RBLxap9muULQGCPWD0g/s1600/luz-casal.jpg"><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 380px; DISPLAY: block; HEIGHT: 347px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5666966014701629554" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCo7GyR7UU_aff8ANVcMxpQRmPd-ezpgtifMCN-wgZPHLjByNLrja3JlwezJxlfTGXugkTC2D0k7z2N8M2CrCmuoe9gEtrDvttgF9aXt2-DsuPrT3PF9hj3zK2RBLxap9muULQGCPWD0g/s400/luz-casal.jpg" /></a><br /><br /><br /><div>Luz Casal est venue chanter au Théatre de La Maestranza à Séville des beaux "boléros" de son dernier album "La Pasión". Je suis allée la voir, l´ecouter avec espoir de m´y retrouver en elle. Aussi à toi. Nuit magique que nous n´oublirons pas. Elle est bien aimée à Paris, beaucoup même, où elle a reçu en France beaucoup de prix, mais aussi en Andalousie, spécialement à Séville où elle commença aussi sa carrière musicale il y a des années. On dit qu´elle a choisi le tître de cet album, après s´être promenée et avoir vu et visité la magnifique Plaza del Salvador de Séville, où se trouve la si grandiose Église, aujourdh´hui "Colegiata" del <strong>Divino Salvador</strong>, expression sublime du barroque sévillan, et où se trouve aussi une des plus vénerables et vénerées processions barroques du Christ de <strong>"La</strong> <strong>Passion</strong>" de la Semaine Sainte Sévillane. Probablement, Luz s´est inspirée de cette Lumière Divine à Séville, qu´elle même projecte à travers sa voix et sa fragilité. Ue ville qu´elle dit toujours admirer, pour choisir un si beau nom pour son dernier album qui rassemble des chansons d´amour lesquelles à travers sa voix, ses gestes et sa fortitude nous laissent voir plus loin... d´où elle aussi vient. Elle s´est rendue presque mystique dans sa belle robe de cygne blanc, comme si elle chantait un peu son dernier chant...de cygne agonisant, mais en tenue de rock noir elle se transforme en cygne noir et elle s´y retrouve encore plus forte, et comme tous ceux et celles qui sont absolument grands et sublimes, nous sentons leurs manque de vanité et leurs presque nature surhumaine dans leur simplicité. Elle se sent et elle nous fait sentir avec son Art pur presqu´un peu plus près de ce dieu sévillan qu´elle a invoqué sans doûte dans sa douleur, dans sa maladie, à Séville, comme tant d´autres on dû aussi le faire quand on se sent manque d´espoir ou de force: dieu un peu en toi, "Luz" du Christe de "Pasión". Merçi pour une si belle soirée. Je vais sans doûte danser...Et si c´est aujourdh´hui ton anniversaire, par hasard, si tu tombes sur mon blog... Je te souhaite un peu de bonheur et je t´invite à écouter "Pasión".</div>isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-84693789663661241112011-06-13T09:37:00.001-07:002011-08-13T10:26:19.362-07:00À Bout de Souffle " encore une fois, "badabada badabada...<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhd-wAIZgsCi_XllwSZMa3aVN9kOY2JUyMHBpVPUP90b9izVmjwkM8ZwIbNloJqHOajDvNoP2zWF1jj9uVC9BPrgEEOyaNeh1tTkJsrR5mD3HwedbIAwuHczrVvlLliaY17lnnjAmKCJK0/s1600/sjff_01_img0006.jpg"><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 400px; DISPLAY: block; HEIGHT: 304px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5617746918282758082" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhd-wAIZgsCi_XllwSZMa3aVN9kOY2JUyMHBpVPUP90b9izVmjwkM8ZwIbNloJqHOajDvNoP2zWF1jj9uVC9BPrgEEOyaNeh1tTkJsrR5mD3HwedbIAwuHczrVvlLliaY17lnnjAmKCJK0/s400/sjff_01_img0006.jpg" /></a>
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<br /><div>Lundi dernier je suis allée voir "À Bout de Souffle" à la Fac au vieux cinéma que nous avons au Pavillion de l´ Uruguay, un viel édifice qui est une relique de l´Exposition Ibéroaméricaine de 1929 où chaque lundi on passe des films du répertoire classique (gratuit) jusqu´à compléter l´afore... Donc, public varié, exotique, singulier... s´y retrouve là bas. Quelques nostalgiques des salles du noir et blanc se placent dans ce petit théatre pour étudiants un peu triste peint d´ un bleu ciel pas très réconfortant, où un solitaire scénario un peu abandonné attend des pièces de théatre d´amateurs jamais jouées. Nous envisageons nos regards perdus vers un écran un peu fichû et nous écoutons un terrible son qui nous offre en sous -titres la version française du film de "la nouvelle vague" du directeur suisse Jean Luc Godart (1960), "encore ine fois". L´ambiance d´aujourd´hui est bien loin de ces belles soirées de cinéma à la salle de la bibliothèque de L´Institut Français/ Écoles Françaises de S. (Société de Bienfaisance), au 22 Rue Abades, détruit il y a quelques années où ils ont construit un bel hôtel... avec charme pour des touristes gourmets et puissants et quelques amants égarés et en fuite. Là bas, à L´Institut, pendant des années, pour les cours de Français d´adultes, mon grand père qui travaillât pour "La Société de Bienfaisance" pendant presque la moitié de sa vie et qui était avec ma grand mère un espèce de "Governeur" et maître de toutes les clefs qui ouvraient pour nous toutes les portes mystérieuses de la plus belle École Française du Sud de l´Espagne, projetait chaque jeudi soir tous ces vieux films français que la "bohème" et classe intellectuelle progressiste et "gauchienne" de la ville du Sud et du quartier noble touristique, venait bien voir après s´être rendu à la Librairie Montparnasse qui était proche pour acquérir un roman de poche, pour plus tard se faire voir. Il fallait se flâter de bien connaître "la nouvelle vague" en un temps où la censure y était bien là encore sous le régime d´un Dictateur. Moi, j´etais dans la salle comme une petite espionne, un peu voyeuriste, sans doûte, regardant des films qui peut- être ne correspondaient pas trop à mon âge... mais qui m´aidaient à ne pas perdre mon contact et identité avec la culture française dont je m´etais séparée en "exile", par circonstances de la vie. Mais, personne ne se doutait de moi... J´ai vu alors beaucoup de ses films en noir et blanc qui m´on aidé à arriver au bout, presqu´à bout de souffle... en attendant toujours cette rencontre pour courir les rues... à bout de souffle. Mais Jean Seberg a trahi Belmondo. À la fin, la lâcheté et la médiocrité s´imposent... Avec toutes ces images j´ai appris à apprendre tout ce que j´apprécie aujourdh´hui sur l´art visuel. Donc, merci grand père...</div>
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<br /><div>C´est pour celà que j´ai voulu retourner voir un de ses films que j´avais vu alors... passé le temps, en perspective... et sans doute, sans nostalgie du passé, je m´y retrouve et non... Tout est différent, mais pareil en même temps. Ce qui me manque le plus, c´est sans doute la compagnie de toutes ses personnes bien aimées, mais pas tellement appréciées alors, qui m´accompagnaient alors au cinéma.... et qui ne sont plus là, près de moi... Je regrette aussi ta main entre ma main au cinéma... Mais où, en tout cas, je retrouve dans ce film le Paris des années soixantes où mon père, comme Belmondo, se promenait avec ma mère sur les Champs Élysées quand les Champs étaient seulement "les Champs"... comme bien nous le fait savoir Belmondo içi, avec ces robes "style" Seberg que ma mère portait aussi si bien. Le film donne jusqu´à nos jours réponse aux "grandes questions" de toujours d´une façon simple. Je n´y vois au film rien de "romantique", comme il est souvent classifié, tout au contraire, il a ce ton amère et doux des tragédies envelopées sous le sourire cynique du geste des doigts sur la bouche de Belmondo jusqu´à son voyage "à bout de souffle", imité de nos jours par le beau garçon des spots de publicité de "Martini" Rosso. Le film explore la trahison dans l´amour, la lâcheté, le courage, la misère et la gloire de la jeunesse, les contradictions de la gamine capricieuse et petite bourgeoise américaine éblouie par une aventure "à bout de souffle" en Europe, où elle n´osera pas aller jusqu´au bout... de l´amour inconditionnel... Le sourire de Belmondo... sa mysogynie et son admiration pour la femme, sa beauté, en même temps... Magnifique!! Requiem toujours pour la belle Seberg! Ma mère me disait qu´elle avait connu quelqu´un à Paris dans une maison de coûture qui était le chauffeur de la belle Seberg, épouse de l´ecrivain .... et qu´il parlait d´elle comme si elle était une princesse de porcelaine... ou de "Tristesse". Comme on dit bien dans le film: " L´Age moderne sépare de plus en plus l´homme de la femme". On y est toujours là.</div>
<br />isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-68487511294484308702011-06-04T09:15:00.000-07:002011-06-04T09:36:23.304-07:00Midnight in Paris: Woody Allen et moi.<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjv5lX5R8E4ntIpDvNaNzRkBm7LeX9wZKFH9U0z_tjhCYbdasV6cKOAYqsPUXLZ6AJYwsE2i14plOrspuYF6IzaM9uwjY_q63kiMx35W0AR3QElRg7X0MLecNSLs_AqO0kQccFIAOKfXU4/s1600/midnight_in_paris_poster_01.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5614401871100766962" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 271px; CURSOR: hand; HEIGHT: 400px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjv5lX5R8E4ntIpDvNaNzRkBm7LeX9wZKFH9U0z_tjhCYbdasV6cKOAYqsPUXLZ6AJYwsE2i14plOrspuYF6IzaM9uwjY_q63kiMx35W0AR3QElRg7X0MLecNSLs_AqO0kQccFIAOKfXU4/s400/midnight_in_paris_poster_01.jpg" border="0" /></a><br /><br /><br /><div>J´avais vraiment envie d´aller voir le dernier film de Woody Allen qui a eu sa Première au Festival de Cannes 2011. C´est vrai que ses comédies ne sont plus commes celles de ses premiers temps...mais nous y retrouvons toujours les mêmes sujets, les mêmes paysages, les même visages, qui se répètent de façons différentes, sous d´autres formes, dans des lieux aparemment différents aussi...mais qui partagent entre tous le même essentiel de l´être. Et en plus il nous fait sourire, sinon rire: Gil, le personnage-psudo-écrivain est dans ce film plus Woody Allen que jamais! Il n´y qu´un changement de scénario, c´est tout. Ça ne fait rien qu´il tourne à Manhattan, L´Europe dont il se sent fasciné comme Henry James l´était lui aussi en temps quç américain, maintenant, il tourne à Londres, Barcelone, Paris...demain ce sera Venise: mais au au fond de lui même, l´accompgnent toujours l´obssesion pour la mort, le retour au passé idéalisé par les clichés de la culture mal digérée, la nostalgie inutile d´un passé qui nous empêche de profiter vraiment et vivement de notre présent... ces dialogues pseudo-intellectuels de la "middle class" intéllectuelle et pédante américaine... un homme seul au milieu d´une terrible crise d´itentité... pris en piège par une relation ridicule où il trouvera à travers ce voyage de rêve qui trouble la ligne qui sépare la réalité de l´illusion où tout est possible et presque pareil, en pleine nuit il retournera au passé de la bohème parisienne et y trouvera ses propres réponses pour son présent... Le passé nous bloque notre présent: qui est tout ce que nous avons vraiment.Et bien, sûr toujours la présence de belles jeunes filles dans ses films qui ouvriront les portes du désir et de l´espoir pour une nouvelle vie... sous la pluie de Paris!! Un autre film à Paris que vous ne pouvez pas manquer!</div>isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-73720098291594423092011-04-22T00:37:00.000-07:002011-04-22T01:37:57.263-07:00Pink Martini. Concert à Paris à L´olympia, 3&4 Oct. 2011!!<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj320P_sitYBaqeG0RWUTRoCx0aCghe4AzX5UfHujXhkY2-aYkqJfQtk6NV4_1A9b4EXCrjLjVB6qc-Qql65MJtu6x_G2FKs39xTEdkknejJj2D6P9EU9DxAB5wlKmnKxHyIieU9eFTbI0/s1600/pink_martini_affiche_definitive.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5598324363978016354" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 236px; CURSOR: hand; HEIGHT: 354px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj320P_sitYBaqeG0RWUTRoCx0aCghe4AzX5UfHujXhkY2-aYkqJfQtk6NV4_1A9b4EXCrjLjVB6qc-Qql65MJtu6x_G2FKs39xTEdkknejJj2D6P9EU9DxAB5wlKmnKxHyIieU9eFTbI0/s400/pink_martini_affiche_definitive.jpg" border="0" /></a><br /><br /><div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1Heli-tryy6O3P7pt6yVjQT_JhsFuHvyYkgy9GFck8c4fPqFZz8vcHjIBp7HQv478_FsYb5mMHsSczxkBz_i44LXxE8eqkhgAjc3wpCbSBqMU_7aBKkRs3uBB_Zy182v3ZosXl-9QXtQ/s1600/2081658-pink-martini-sympathique.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5598317106783160370" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 400px; CURSOR: hand; HEIGHT: 400px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1Heli-tryy6O3P7pt6yVjQT_JhsFuHvyYkgy9GFck8c4fPqFZz8vcHjIBp7HQv478_FsYb5mMHsSczxkBz_i44LXxE8eqkhgAjc3wpCbSBqMU_7aBKkRs3uBB_Zy182v3ZosXl-9QXtQ/s400/2081658-pink-martini-sympathique.jpg" border="0" /></a><br /><br /><br /><br /><br /><br /><div>"Je ne veux pas travailler"!!!!!!!! de la chanson "Sympathique" de China Forbes et Thomas Lauderdale (d´après le poème "Hôtel" de Guillaume Apollinaire publié aux éditions Gallimard) dans l´album "SYMPATHIQUE" (Sympa comme moi, quoi!). Quand viendrez vous vers le Sud en Espagne???<br />Voilà les paroles pour vous tous et si vous voulez écouter la chanson et la chanter avec moi, moi je la chante tous les matins quand je pars au boulot!!! et non à Paris où je veux absolument re-vivre!!!<br />(Â propos, peut-être ils vont nous interdire de lire ces paroles, de les écouter, de les chanter, peut-être de les écrire, car elles nous disent "et puis je fume..." C´est tout un absurde!)<br /><br />"Ma chambre a la forme d´une cage<br />Le soleil passe à son bras par la fenêtre<br />Les chasseurs à ma porte<br />comme les petits soldats<br />qui veulent me prendre.<br /><br />Je ne veux pas travailler<br />Je ne veux pas déjeuner<br />Je veux seulement oublier<br />et puis je fume.<br /><br />Déjà j´ai connu le parfum de l´amour<br />Un million de roses<br />n´embaumeraient pas autant<br />Maintenant une seule fleur<br />dans mes entourages<br />me rend malade.<br /><br />Chorus<br /><br />Je ne suis pas fière de sa<br />vie qui peut me tuer<br />C´est magnifique,<br />être sympathique,<br />Mais je ne connais jamais.<br /><br />Chorus: "Je ne veux pas travailler..."</div><br /><br /><br /><br /><div></div><br /><br /><br /><br /><div>web site: www.pinkmartini.com</div></div>isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-83311877261161867142011-02-16T12:32:00.000-08:002011-02-18T12:52:02.164-08:00Romy Schneider à Paris REVISITED.<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-V0s-EjROycKbBjSC_DF407DBIs2V4hynU-pB_2_8QXok_0SjzA4COf44rzjaQPlQfR0nZL6kLLmjKar_jkXaCZQ-5GDkMdXvFxQXy6wZYRuWdchMw9sVlYinzDnrvP6gcc-mswGBQ0g/s1600/Romy+Schneider.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5575109300210640354" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 282px; CURSOR: hand; HEIGHT: 400px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-V0s-EjROycKbBjSC_DF407DBIs2V4hynU-pB_2_8QXok_0SjzA4COf44rzjaQPlQfR0nZL6kLLmjKar_jkXaCZQ-5GDkMdXvFxQXy6wZYRuWdchMw9sVlYinzDnrvP6gcc-mswGBQ0g/s400/Romy+Schneider.jpg" border="0" /></a><br /><div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhS6mPynOyWBtqoloJXG2KbAyi2cMWxVSjOM-e7Zws9WAsSrtWjtrbAjuvY02gLBi06v80b4mQef4jXW0lvgXLpQyx_yDkQRvQ_mzN6Dp1RviwUwHIsiLr_ERz6UU06rI3IzR_o7vX3OgE/s1600/33690155.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5574391600901515554" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 300px; CURSOR: hand; HEIGHT: 400px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhS6mPynOyWBtqoloJXG2KbAyi2cMWxVSjOM-e7Zws9WAsSrtWjtrbAjuvY02gLBi06v80b4mQef4jXW0lvgXLpQyx_yDkQRvQ_mzN6Dp1RviwUwHIsiLr_ERz6UU06rI3IzR_o7vX3OgE/s400/33690155.jpg" border="0" /></a><br /><br /><div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgB4iwj7y76dp9L7xHNaDM9CAi91ub9H_YsMS-kMtth4WnmmLwHGxFWPsMrcfKFDK4C0cKdLNSaNSEVNXd6MO4MlFQ4vqaKMWWAVdIB9ZdDmjzal9bpsvrxTeBcrE6qehKjAsfsfG5B0G4/s1600/33690153.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5574390605440602338" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 300px; CURSOR: hand; HEIGHT: 400px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgB4iwj7y76dp9L7xHNaDM9CAi91ub9H_YsMS-kMtth4WnmmLwHGxFWPsMrcfKFDK4C0cKdLNSaNSEVNXd6MO4MlFQ4vqaKMWWAVdIB9ZdDmjzal9bpsvrxTeBcrE6qehKjAsfsfG5B0G4/s400/33690153.jpg" border="0" /></a> Mes photos prises au Cinéma "Champo" de Paris (Rue Champollion) (Juillet 2007)<br /><br /><br /><div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgL9aHSoNWD1nH1d-81tPIqyBEc6g8VtwFZaXB8ciBZ47JA_XdkGMkDnalZtfkUPVEh1IkyO0dxCmfT52Vv_mX0rA-NOO5k8uXOM_A1mSRWUAZoG8PUWd15P_uRfQ0NEutBnRUQW_jp2nQ/s1600/alain-delon-08-11-1935-2-g.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5574390088096680690" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 389px; CURSOR: hand; HEIGHT: 400px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgL9aHSoNWD1nH1d-81tPIqyBEc6g8VtwFZaXB8ciBZ47JA_XdkGMkDnalZtfkUPVEh1IkyO0dxCmfT52Vv_mX0rA-NOO5k8uXOM_A1mSRWUAZoG8PUWd15P_uRfQ0NEutBnRUQW_jp2nQ/s400/alain-delon-08-11-1935-2-g.jpg" border="0" /></a><br /><br /><br /><br /><div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh-9EJFvevY0mYTKP_xVIEt1J4s_7vSNcge-eoxbS-QfcD4Vs44anrfuvU6DI0srurd1WnzXM8XIh6gLmbhSNmI39OZkgBlIEaf4EfRFZBRxs8LPMk6_cOIuAlw6aR_gS1Ik_iBj3RESxE/s1600/romy-schneider-paris.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5574389452223846594" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 400px; CURSOR: hand; HEIGHT: 320px" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh-9EJFvevY0mYTKP_xVIEt1J4s_7vSNcge-eoxbS-QfcD4Vs44anrfuvU6DI0srurd1WnzXM8XIh6gLmbhSNmI39OZkgBlIEaf4EfRFZBRxs8LPMk6_cOIuAlw6aR_gS1Ik_iBj3RESxE/s400/romy-schneider-paris.jpg" border="0" /></a><br /><br /><br /><br />"Les souvenirs c´est souvent tout ce qui nous reste de mieux"/"The best is often the memories"/Los recuerdos muchas veces es lo mejor" (Romy Schneider dans un interview).</div><div> </div><div>C´est un peu triste ce qu´elle nous dit, mais c´est sans doute un peu vrai, car tout le monde regarde en arrière quand le présent nous a fait trop de mal, et au moins si nous avons eu la chance de connaître un peu de bonheur derière nous, ça nous aide à vivre en même temps le présent et ainsi construire le futur. Puisque nous la regardons à elle et d´autres comme elles qui continuent à nous fasciner dans leur passé trop souriant. Mais que cachaient ses sourires? Plus tard, elle devenait la Sphynx énygmatique et mystérieuse qui nous laissait voir ses déceptions, ses trahisons de chagrins d´amours, l´abandon de son cher "voyou" Delon qui la séduisat à l´infini... Les paradis perdus sont toujours dans le passé. Mais, T.S. Eliot, le poète anglais nous rassure "Están presente y pasado presentes/tal vez en el futuro, y el futuro/en el pasado contenido" /)<em>Four Quartets)</em> .</div><div>Ces vers me rassuren toujours et je suis fidèle à la conception globale du temps qui m´emmène à l´éternité d´où un regard comme celui de Sissi/Romy venait sans doute. C´est ce qui me permet écrire aujourdh´hui ces quelques lignes. Sa beauté n´etait pas de ce monde, même quand elle n´était plus jeune, en ajoutant du temps à son corps qu´elle avait même laissé et osé photographié à 40 ans. eEle avait gagné la bataille à tous les hommes qui lui ont fait du mal sns le vouloir peut- être, et elle a sû nous laissé son témoignage et générosité de femme complète et pleine, ambigue, complexe, cohérente, complexe: de l´air vierge de Sissi à la fatalité de "L´Important c´est d´aimer."</div><div>"<br /></div><div>Photos de Romy Schneider à Paris. Je vous invite à contempler Paris du haut des Tours de L´Église de Notre Dame avec Romy qui un jour remplît le ciel et les toits gris de tout Paris avec son charmant et eternel sourire et yeux de triste princesse! For more wonderful portraits and information about the exhibition that was held in Hamburg andBerlin (until 29 th August 2010) for the 70 th anniversary of her birth visit <a href="http://artblart.wordpress.com/tag/romy-schneider">http://artblart.wordpress.com/tag/romy-schneider</a></div></div></div></div>isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-89810006629705708492011-02-02T11:50:00.000-08:002011-02-14T08:46:40.988-08:00Romy Schneider au cinéma Champo à Paris<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgXUBCYgNILeF0pIwn1A-UJP2veCHadsKsZw1sRE9q-lIIVBmv1BUti-OezSvlDFLonJWHDsam1yF4Inlx0TNiXbVCIOGarQcGOYL8OSEkiFaroO3_EGOzkoxZzC4EvqloYBznO0ZzqIGA/s1600/33690150.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5569939807718192194" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 400px; CURSOR: hand; HEIGHT: 300px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgXUBCYgNILeF0pIwn1A-UJP2veCHadsKsZw1sRE9q-lIIVBmv1BUti-OezSvlDFLonJWHDsam1yF4Inlx0TNiXbVCIOGarQcGOYL8OSEkiFaroO3_EGOzkoxZzC4EvqloYBznO0ZzqIGA/s400/33690150.jpg" border="0" /></a><br /><div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgXcPZahjybSgzp8QCunStqw6VDKxkC5_PaTPt_QpiM5biecleNinZdW7OpbHqVDeqm5pAJWyCJxlZvXGld_9PV-05Kaxwfl_dbftfF1UZYCb5GMMRsjD-xVW-cMEtbmq1AYG6F3tbFrAI/s1600/33690155.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5569938510964207154" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 400px; CURSOR: hand; HEIGHT: 300px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgXcPZahjybSgzp8QCunStqw6VDKxkC5_PaTPt_QpiM5biecleNinZdW7OpbHqVDeqm5pAJWyCJxlZvXGld_9PV-05Kaxwfl_dbftfF1UZYCb5GMMRsjD-xVW-cMEtbmq1AYG6F3tbFrAI/s400/33690155.jpg" border="0" /></a><br /><br /><div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUuGkCLB7upfFiTDcV551t4J5r_aiAtnSnvgB9HqprhJ3kmzVAuVhLI7ha_2qFhnigq8WGHvTlt45evzaj-6uDlQq59nLAmagxN3JqDv0SBizIt2u_XzZLrvFQkHxuYCfBXdD09D9AEBY/s1600/33690153.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5569938167442044834" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 400px; CURSOR: hand; HEIGHT: 300px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUuGkCLB7upfFiTDcV551t4J5r_aiAtnSnvgB9HqprhJ3kmzVAuVhLI7ha_2qFhnigq8WGHvTlt45evzaj-6uDlQq59nLAmagxN3JqDv0SBizIt2u_XzZLrvFQkHxuYCfBXdD09D9AEBY/s400/33690153.jpg" border="0" /></a> Mes photos au cinéma " Champo" au quartier Latin (Rue Champollion).<br /><br /><br /><div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVFJKFZsbvpQOHRrBB-fNppi3E18_N0nf4F644hpe1GWRHAVgbzXd_v9EpGL3vWq8SNO4BZ5yiY3Mm3HHB8XrM8L2RCSjW4m3RanWDvbRRTORmc_JhuXz0Z4D2L2ijmx5gRzznQJ6qWRg/s1600/romy-schneider-alain-delon-wallpaper.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5569184017040231442" style="DISPLAY: block; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 400px; CURSOR: hand; HEIGHT: 300px; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVFJKFZsbvpQOHRrBB-fNppi3E18_N0nf4F644hpe1GWRHAVgbzXd_v9EpGL3vWq8SNO4BZ5yiY3Mm3HHB8XrM8L2RCSjW4m3RanWDvbRRTORmc_JhuXz0Z4D2L2ijmx5gRzznQJ6qWRg/s400/romy-schneider-alain-delon-wallpaper.jpg" border="0" /></a><br />J´aime bien regarder ces images de ces deux amoureux de yeux bleus profonds d´océans qui me faisaient croire que la beauté n´existait qu´en celluloide sur l´ecran, en couleurs d´autres temps... Même ce tel Delon, ce garçon qui était le plus beau du quartier? Lui, qui avait fait trembler de désir passionnant les belles pucelles du Paris des années 60-70, les filles de foulards rouges at lunettes noires et chignons style "Cool" et beaucoup d´autres, comme Visconti, sans doûte, a sû bien apprivoiser le temps. Car il est toujours quelque part, en nous chantant un "soul", un duet avec Françoise Hardy... mais qui ne dit plus rien sur tous ces amours et baisérs volés. Il n´a pas pû oublié Romy ou un peu, il a trop habillé son coeur de tendresses pour d´autres femmes, mais pas si irrélles, comme elle... Romy Schneider. J´ai revu quelques films à Paris, un jour que la pluie m´a surpris. Non, je crois qu´il faisait trop beau cet été où je me suis perdue entre les touristes en te cherchant près du boulevard Saint Germain où je croyais qu´on s´était donné rendez-vous et j´ai donc pris refuge, près de la Rue Champollion et de la Sorbonne dans les librairies. Içi, dans ce vieux cinéma de films de culte: "LE CHAMPO" où presque par hasard il y avait aussi un cycle de passion japonaise et un film avec l´idolatré Javier Bardem jouant le rôle du peintre tourmenté, Goya. L´Espagne se croise toujours avec moi à Paris. Et je me retrouve comme dans un rêve avec son triste regard de Sissi derrière les vitrines des affiches en noir et blanc où brille une sélection de ses meilleurs films. Je me demande si vraiment quelqu´un viendra vraiment les revoir. Les stars d´aujourdh´hui ne ressemblent pas des vraies stard de cinéma: elles sont comme des fausses copies certifiées. Je dois être la seule à me décider si entrer ou pas dans la salle. Si tu étais déjà près de moi, nous les verrions tous deux ses films dans le noir: enfermés, comme tu aimes bien être entre les parois des chambres qui rassurent tes peurs. Elle, Romy, comme tourmenté son visage de buste hélénique, me fait un geste pour que je rentre au cinéma de relique du quartier. Elle m´a traversé le coeur, comme à elle un jour son bel Alain lui a traversé le sien. Un étrange "étranger", comme moi, un passant sans souçi, s´est soudain arrêté près de moi, ou derriere, tout simplement pour me dire en chuchotant, ce parisien nostalgique-personnage de mon prochain roman- peut-être, un peu gaga, moitié blond, moitié brun, qui portait un drôle de casquette et grosses lunettes années soixante, que: "tout ce qui est Romy est simplement extraordinaire, allez- y madame". "-Merci, monsieur" je lui ai répondu, en souriant. Et il est parti, en me laissant prendre mes photos que je n´arrive pas à publier plus tard sur ce blog dans le sens des aiguilles (caprice du destin) À Romy il faut la regarder en inclinant la tête d´un côté et il m´a fait signe de la main cet homme en la portant à sa bouche, comme pour me dire en un geste que Romy était toujours la plus belle. Et je lui ai fait signe que oui avec la tête. Et j´ai pris ces photos, j´adore le reflet des vitrines, des miroirs sur la caméra. Il me l´a conseillé, ce regard de Romy, à travers les vitres qui nous séparent: mirage poétique, apparition sublime et énigmatique. Sans doute, son conseil parce qu´il se doutait que je puisse la connaître, cette femme lyrique et pure poésie de beauté hélénique, m´a poussé vers elle. Elle me fait penser aussi à un poème de Hilda Doolittle "Helen of Troyes" dédié et inspiré par la grande Diva, Greta Garbo qui avait, comme Romy, le don de la beauté surréelle et sereine des models classiques. Içi, les voilà ces deux sublimes amants-cygnes qui rien ont à voir avec les étoiles inventées de nos jours: "Romy et Alain à l´envers" dans le film, "Christine", comme si ils ne posaient même pas. Un film que j´ai vu à Paris avec ma mère qui l´adorait plus que moi, il y a des siècles et des siècles, pendant un après-midi d´un certain jeudi des quatre heures de pain et chocolat, plus tard aussi avec Sissi et toute la cour de Vienne dnas nos pupiles éblouies. Toutes les petites filles voulaient lui ressemble: un peu. Et en même temps tou cette fausse féerique nous a tué, une fois découverts tous les faux décors de l´amour et des princesses qui un jour finissent par se tuer. Après, je l´ai suivie par tous ses films plus tragiques, qui étaient très bien aussi. "La piscine", je m´en souviens m´avait beaucoup plus. Je voulais toujours me coiffer comme elle, les cheveux en arrière, avec un font synonyme de noblesse d´esprit. J´avais appris de sa mort en Espagne, et ça m´avait drôlement bouleversé. Je n´imaginais pas que "Sissi"/Romy puisse mourir un jour: bien sûr, je pouvais comprendre sa douleur, elle avait perdu son fils à cause d´un absurde accident. Je lisais toujours "Le Paris Match" à la bibliothèque de L¨Institut Français au Sud et je ne quittais donc jamais le lien avec la ville du Nord et toutes ses petites vies... Elle avait une autre petite fille, je crois, qui aussi, avait hérité son même front de femme intelligente et puissante...mais elle n´avait pas pû surmonter le coup du fils bien-aimé. Après, elle avait tourné "La Mort en Direct". Prophécie. Elle était fascinante. Tout ce que je sais sur cinéma je le dois à cette époque. À ma maman, à elle, à toutes ces autres comme "elle/aile" qui m´on fait apprécier le cinéma comme un Art curatif et son contraire. À tous ces films qu´on me montrait comme si c´était la vie même, sans le savoir, je leurs dois des moments de plaisir, de souffrance, de connaissance, de joie! Elle m´a appris à regarder la beauté sans aditifs: pure, trop pure. Je ne saurais pas comment l´expliquer. Elle était presque pareille à Romy, à Gina, à Grace, à Elizabeth... et tant d´autres avec qui nous avons passé toutes ses années. Ma mère, les mamans d´autres temps, qui se regardaient timides dans les visages de toutes ses belles femmes d´âmes brisées. Je l´ai crû donc, et je croyais à Sissi, à Christine, mais après, avec le temps, le mauvais temps, ce beau regard s´est refroidi dans beaucoup d ´autres films où elle jouait à être quelqu´un d´autre, loin de Sissi, loi d´elle même. Elle était froide comme la glace. Comme moi, comme toi. Loin de Baviera, à Paris elle mourra petit à petit, sans Alain, sans les siens. Et moi, je suis partie vers le Sud et je l´ai aussi oublié, car il y avait des nouvelles Pénelopes, Victorias... Je croyais l´avoir oubliée. Mais non, je l´ai retrouvée à Paris et je l´ai reconnue pendant que je t´attendais et elle me réconforte et me dit qu´elle est là bas, plus loin où habitent les vraies étoiles sur la toile des cieux qui couvrent les boulevards de Paris. Moi, je ne lui ressemble pas. Ma mère toujours m´en parle de toutes ses femmes comme si elle même les habitaient. Mais j´ecris pour que les Romys, les mamans, les Grace, les Belles sans chirurgie d´autrefois, nous accompagnent toujours: elles, dames qui ne pouvaient pas écrire, ni être stars de cinéma, ni être comme toi, comme moi, maintenant que Romy n´est plus là, je fais de toutes les femmes du monde des stars de cinéma! Comme si elles étaient toutes habitées par les esprits classiques de l´écran en noir et blanc et en couleurs que jamais je n´étaignerai pour vous. ACTION ON TOURNE "ROMY ET ALAIN SONT REVENUS!" Il nous restera toujours Alain Delon, pour qu´il nous raconte un roman sur la plus triste et belle histoire d´amour de deux étoiles de cinéma qui ne semplaient pas stars, mais plutôt âmes errantes coinçées sur l´écran! Mais qui s´aimaient comme nous tous, sans doute. Plus Romy que jamais, peut-être, aujourdhui que tu la re-regardes à nouveau, sur ce miroir magique c´est bien toi! Te voilà, entrons au cinéma!</div></div></div>isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-6043154540049046082010-12-24T08:16:00.000-08:002011-01-04T04:17:06.236-08:00Paris sous la neige à Noël<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhSkdxiDZq4XKdYo9OnN6lF3BsSwOHFgDxLeJeOQ8AFG1yEpzjQ2hUt6fQC7VtOpauBIotKbSGXVy7v0-Ad2F0GnVrBBSKwiw5uEKIYuNjWZyOzhkCFIn757lGtVFDJj2ztQg3e2x0GuPw/s1600/premi%2525C3%2525A8re%252Bneige%252Bau%252BLuxembourg%252C%252BParis%252C%252B1955.jpg"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 400px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhSkdxiDZq4XKdYo9OnN6lF3BsSwOHFgDxLeJeOQ8AFG1yEpzjQ2hUt6fQC7VtOpauBIotKbSGXVy7v0-Ad2F0GnVrBBSKwiw5uEKIYuNjWZyOzhkCFIn757lGtVFDJj2ztQg3e2x0GuPw/s400/premi%2525C3%2525A8re%252Bneige%252Bau%252BLuxembourg%252C%252BParis%252C%252B1955.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5554285108353707730" /></a><br /> "Première neige au Jardin du Luxembourg" (1955). Photo: Édouard Boubart(1923-1999)<br />Je vous souhaite un joyeux Noël d´écriture avec cette belle photo des paradis des enfants parisiens qui jouaient dans les jardins de la ville au temps où la neige fondait sous les doigts, sous la peau, sur la terre des villes! Aujourdh´hui, les enfants construisent des hommes de neige à l´ordinateur, seulement en image, et se demandent, peut-être, si il est possible de jouer avec. Ils restent endormis dans les embouteillages des autoroutes des périphériques, bloqués dans les tunnels noirs, isolés dans le chauffage rassurant des espaces domotiques... que leur parents conduisent énervés vers leurs belles maisons et pavillons des environs. Ils se demandent comment faisaient tous ces enfants des photos en noir et blanc pour pouvoir sortir dans ces si beaux jardins du luxembourg où la neige fond sans enfants. Jardins de leur ville que peut-être, aujourdh´hui Noël, ils ne connaissent même pas... Jardins, statues, fontaines qu´ils voient apparaître à travers la vitre de la voiture par magie, car maman et papa n´ont plus le temps et Grand Mère ne sort plus à Paris pour peur de tomber dans la neige: maman dit qu´ il faut mieux aller faire les courses dans les grands Malls des alentours de Paris... pour acheter un homme de neige en plastic "made in China" construit par les toutes petites mains d´un enfant exploité ou esclavisé... par peur que nous puissions tomber sur cette neige, sur cette patinoire de glace où jouaient leurs parents. On a peur, on a tellement peur du présent qu´on le laisse échaper, fondre comme de la neige entre nos mains, en regrettant inutilement le passé. Un jour, Noël ne sera plus Noël, à moins qu´on laisse fondre à nouveau la neige entre les mains des enfants en construisant des hommes et femmes de neige d´auparavent. Nous devons laisser nos enfants et les enfants de nos enfants tomber dans la vraie neige d´aujourdhui, courir dans les allées des parc, de la terre glacée. Oublions nous de ce faux plastique d´échantillons de nos jours présents et touchons la terre froide et mouillée!! Je cours pour aller vers Paris, qui de loin sous la neige, me souhaite et me dit de retourner aux paradis de l´enfance neigée...avec d´autres enfants qui ne sont même pas mes enfants. Malgré tout mes désirs, je pense à tous ces enfant du monde entier qui ne peuvent pas jouer. Joyeux Noël, c´est pour dire, mais mon enfant est, était et sera tous les enfants du monde et tous les enfants du monde sont mon enfant. Noël, comme le titre de la biographie de Simone Signoret et Yves Montand, n´est plus ce qu´il était: "la nostalgie, ce n´est plus ce qu´il était." Il faut vivre le présent et aller plutôt au Luxembourg au Printemps!!isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-83822465587324500772010-12-08T03:42:00.000-08:002010-12-08T05:11:19.337-08:00SUZANNE DESCHEVAUX-DUMESNIL: FEMME-OMBRE DE BECKETT.<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjDgpGCLlxZ_umImK8dsufDSq_qTY1vewtJAkTEInnFXRORulpgQHN_6QqeGPdyhXMPahO4TEJ7_21dccuNIAF7eSsURnWCwQXBjQWZwJBgs3g9SjCnrnRwi0uB6G30N3fy60ERURzulXU/s1600/bio1929.jpg"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 158px; height: 158px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjDgpGCLlxZ_umImK8dsufDSq_qTY1vewtJAkTEInnFXRORulpgQHN_6QqeGPdyhXMPahO4TEJ7_21dccuNIAF7eSsURnWCwQXBjQWZwJBgs3g9SjCnrnRwi0uB6G30N3fy60ERURzulXU/s400/bio1929.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5548282406989135186" /></a><br />SUZANNE DESCHEVAUX-DUMESNIL: lA FEMME-OMBRE DE SAMUEL BECKETT. Photo: Mita ed Edmnd Tuby.<br />Source: www.samuelbeckett.it/bio1929.<br />La dame si stylisée en question de "look" des années 20, qui "a sauvé" Monsieur Samuel Beckett s´appelait Suzanne Deschevaux-Dumesnil: paraît-il qu´elle a appelé une ambulance après qu´il soit mystérieusement poignardé par un proxénète à Montaparnasse, à la sortie d´un cinéma où il venait de voir un film de Renoir en compagie de ses amis: plus tard sa compagne et son épouse. Elle l´avait visité à l´hôpital. Sordide histoire MODERNISTE (je crois), selon la biographie de Deirde Bair et d´autres sources. Il l´avait connue avant à une partie de tennis. ¿Connaissait il auussi le proxénète de ses nuits au Red District parisien? Les présentations de la jeune faites auparavant par son ami Alfred Péron. Comme une histoire de fiction ou un script de film noir: les étranges coincidences de la vie, tout simplement, ou même pas. Je crois qu´on lui doit à cette invisible dame oubliée, Ange Sauveur du Montparnasse, presque tout ce français simple qu´il se jactait de dire lui aidait à creer une oeuvre dépurée en style: il l´a a apprise cette langue près d´elle, d´elle même. Elle était sa voix et elle le berçait de ses sons: ce trésor oublié par les critiques lui a permis à l´ecrivain irlandais-parisien, d´inventer son style en base d´une manque: le fait qu´il s´agissait en fin de compte d´une seconde langue apprise, comme un enfant apprend une seconde langue, lui a sans doute beaucoup béneficié. C´est un mythe de la critique littéraire dire que Beckett était bilingüe: que son oeuvre est bilingüe. Il concevait une première version en français et après une en anglais, qui était plus qu´une traduction en elle même, une nouvelle oeuvre. Et la première version était le résultat d´ un language appris, pourtant incomplet, par lui -même, comme sa propre conception du récit et de la vie: pas une maîtrise du français. Il a sû profiter de ce fait, pour créer cette conception minimaliste du language à partir de l´ idée qu´il se voyait toujours dans le procès de l´acquisition du français, qui n´était pas sa langue maternelle, mais l´anglais, en fin de compte. Donc le manque de connaissance en soi lui permettait de nous parler du signifiant et de l´importance du Manque, du vide, de l´absence, du NON-SIGNE. Il devait parler avec Suzanne en français et elle devait sans doute lui corriger et sugérer beaucoup à Beckett sur son écriture, comme d´autres compagnes d´écrivains, oubliées dans les ombres du procès de la création artisque et qui tant ont contribué à la genèse de l´Art sans le savoir: mais nous, nous le savons maintenat, comme la femme de T.S. Eliot, Vivienne ou l´irlandaise "analphabète?" Nora Barnacle, épouse de James Joyce, pour nommer les "Innombrables". Leurs langues et leurs mots, ils les ont usurpés et versés dans leurs récits modernistes et post-modernistes: un language absolument pure redéfini et reconçu sur leurs oeuvres minimalistes de language infini, mais filtré à partir de possibles conversations avec Suzanne. Conversations et dialogues de l´absurde, aussi évaporisés, dans le noir et le rien de la nuit parisienne et le bleu choquant de la Provence d´autres fois, refuge des parisiens pendant la seconde guerre.¿Peut-être est-elle plus présente que nous le croyions, dans le creux de son oeuvre "Les Jours Heureux"? Sans doute. Peu de critique littéraire lui a donné de place sur l´oeuvre du Prix Nobel: mais à ça, à l´absence des femmes-ombres, on est habitué dans l´Histoire. Les femmes-ombres-esprits déambulent cachées sous des voiles transparents, mais nous voilà içi pour les résuciter. L´ inspiration et source de connaissance du Maitre Irlandais, quand ils ont fui dans le Roussillon à travers les routes désolées, perdus commme Estragon et Vladimir, s´appelait Suzanne. Elle se plaignait de la douleur de ses pieds, comme Estragon. De son indifférence. De notre indifférence. Elle représente aussi tous ces personnages, aussi présente dans son oeuvre que l´ ínquiétante absence- présence de son Godot "masculin", aparemment: et voici ce petit texte de blog, pour elle, "En Attendant Suzanne". <br />Pour toutes ses femmes qui on vécu dans les ombres et dans l´absence-absinthe de l´imagination des hommes qu´elles ont accompagné le long de la longue route d´une Europe massacrée par les Deux Grandes Guerres que nous n´avons ni devrions oublié jamais, j´ecris un peu quelques lignes de l´Absurde. Pour toutes ces femmes, épouses, amants, compagnes, amies d´hommes at artistes célébrés qui sont aujourdh´hui par elles mêmes, reconnues par certains espaces comme le mien, et qui nous aide comme source d´inspiration. Je le souhaite, Suzanne ou n´importe qu´elle soit ton nom, Beckett ou Joyce ou Borges auriaient écrit pour vous, pour nous, les oeuvres qu´ils nous ont laissées à nous tous. À nous deux. Elles sont la source et la force éternelle de beaucoup d´artistes renommés et leurs oeuvres idolatrées. Sujets et objets à reconstruire: à découvrir.isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6592190222921257989.post-26631660270899393402010-11-27T05:27:00.000-08:002010-11-27T06:43:27.401-08:00Beckett à Paris<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi4iPszhhmOyBGIk761SpYbUh-nKEuxj3lPRn_7QPk6jb3cc9Wr6NRgRX-lScRSVdpPTFrGo3B_kW9CkdpC_-q1PijXAYl5NJQKfuVVzZF-qkE7-_mLOk0evWwJahOY-1KghgzUuxR54og/s1600/samuel-beckett-paris-cafe-jpg.jpg"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 395px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi4iPszhhmOyBGIk761SpYbUh-nKEuxj3lPRn_7QPk6jb3cc9Wr6NRgRX-lScRSVdpPTFrGo3B_kW9CkdpC_-q1PijXAYl5NJQKfuVVzZF-qkE7-_mLOk0evWwJahOY-1KghgzUuxR54og/s400/samuel-beckett-paris-cafe-jpg.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5544227622590432498" /></a><br />"En Attendant Godot/"Waiting for Godot" ("RIEN À FAIRE"/TOUT À FAIRE!!, de "Waiting for Godot") Le voilà Monsieur Beckett dans un café parisien. Ça FAIT TROP LONGTEMPS. Oui, celui qui écriva "En Attendant Godot" en français (si vous ne l´avez pas lu ou vu sur un scénario, ne le manquez pas). Il traduisait en anglais ses propres oeuvres, plus tard lui-même comme "Waiting for Godot." Mais ce n´était plus le même texte. "Nothing happens twice" (from "Waiting for Godot) (Rien ne se passe deux fois, ma traduction). Je le préfère en français. Il est plus sobre qu´en Anglais. En espagnol, à mon avis, il ne rend pas du tout très bien. C´est pour celà qu´il traduisait son oeuvre: les traducteurs détruisent... Ils sont fous de Godot, maintenant, plus que jamais, mais personne ne le comprends ni voudrait le comprendre vraiment. C¨est ça son charme et mystère. Un peu bébile et enfantin: génial dans sa simplicité noire et blanche. Il parait que son inspiration pour cette pièce de théatre du surnommé "théatre de l´absurde" lui est venu d´une peinture du Romanticisme allemand ( Carl Friedrich, "Deux hommes regardant la lune"/"Un homme et une femme regardant la lune". Une autre source pour cette pièce du silence, du rien absolu, du minimalisme d´hier et d´aujourdhui: son terrible expérience dans le Rouissillon français, quand il le parcourut à pied (comme beaucoup de français, déplacés,réfugiés,éxilés, émigrés, en temps de guerre et post-guerre européenne) en fuite de l´invasion des Allemands à Paris pendant la Seconde Guerre Mondiale. Résistant Français-Irlandais à Paris: châpeau! Ami de James Joyce et de son groupe. Qui admirait la littérature française dès ses années d´etudes à Dublin et sa culture d´avant garde. Il traversèrent les champs, les villages, dormaient sur un banc, mangaient des navets en cours de route, avec sa femme, épuisés tous deux et réduits au RIEN absurde des guerres: la nuit devant eux, avec sa compagne, elle, souvent en ombre, comme toutes les compagnes, épouses et amants d´"artistes célèbres": Suzanne Deschevaux-Dumesnil, qui luttait et combattait pour la Résistance Française contre les Nazis, avec Beckett. Qui lui parlait de son angoisse, de sa fatigue, qu´il ne comprenait peut-être pas. Il lui doit son français adopté d´irlandais. Des paroles qui ne sont pas paroles. Ses silences. Et la vie, il le disait, "je lui dois tout à Suzanne" (au moins, il le disait et l´a fait savoir au monde, mais le monde a oublié Suzanne). Pas moi. Car je suis toutes ses femmes oubliées dans la nuit et la route de Godot. Mais les critiques littéraires l´oublient. Elle lui avait sauvé la vie, cette vie de RIEN et de SILENCE DONT IL NOUS PARLE sans nous parler. Quand il a été blessé par couteau dans la rue à Montparnasse par un fou proxénète qui sûrement le prenait pour quelqu´un d´autre, elle est apparûe comme un personnage de pièce de L´Absurde (du rien, lui, qui n´attendait plus rien, sûrement): l´Absurde de la vie. Il l´avait vécu en chair propre. Nous sommes les enfants des coincidances absurdes, de l´hasard mal foûtu. Elle avait appelé une ambulance en étant témoin du malheureux asssault et l´a visité plus tard à l´hôpital. C´est la légende parisienne, l´histoire récupérée en fragments minimalistes sur sa biographie. Elle, néanmoins, lui a beaucoup aidé comme "agent littéraire" pour la publication de son Oeuvre et ses pièces de théatre mal comprises par les méfiants éditeurs, au début du périple artistique. On lui doit une place plus distinguée à la pianiste, beaucoup plus importante dans la production du Prix Nobel irlandais que l´on ignore souvent. Peut-être j´ecrirais une "Pièce de Théatre" pour leurs mémoires...: "Beckett et moi". En traits "minimalistes" et suscints, que personne ne lira ni verra... Ils étaient tous deus "On the Road"... parce que on ne fait qu´attendre, attendre. Attendre est une action par elle même... Il parait. C´est ça le sens de la vie? Qui es tu, Godot? Peu importe. Les spectateurs et spectatrices regardent étonnés ces paroles de dialogues aburdes qui se ressemblent aux absurdes dialogues du "Messenger", du "chat" sur l´ordinateur. Le vide numérique est la route vide de Godot. Donc, je t´attends... Nous t´attendons et c´est ça qui compte. D´autres passants sans souçi sur la route, mais rien n´arrive vraiment. Personne se sauve. Aucun. Si on attend, c´est qu´on est vivant..C´est peut-être ça le seul espoir. Haruki Murakami se ressemble aussi à Beckett: son vide existentialiste et sartrean. Des souliers, des bottes, un arbre, des chapeaux-melons, quelques blagues pour nous en sortir de la désolation, un rire étouffé de Chaplin de temps en temps, une carotte, des navets, on n´a pas vraiment besoin de beaucoup plus dans la vie... Je t´attends!isbellehttp://www.blogger.com/profile/12368519160948622409noreply@blogger.com0