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miércoles, 29 de mayo de 2013

Gatsby, Le Magnifique ou L´Eternel Adolescent.

Gatsby, Le Magnifique ou L´éternel Adolescent du Grand "American Dream".

Le roman de Fitzgerald, Scott adapté une fois de plus au cinéma. Cette fois, Leonardi Di Caprio et la jeune et douce Carey Sullivan. À Cannes, les voilà.... Ils représentent la follie des années 20 qui est un peu la notre.

Comment ne pas se laisser ausi séduire par cette "Magifique" histoire? Plus qu´une Publicité de Champagne!!
Merveilleuse, éblouissante traduction visuelle d´un livre-roman qui s´inspire sur "Le Grand Meaulnes" d´Alain Fournier.

À la recherche du temps perdu, de l´Amour, du Premier Amour Perdû, Retrouvé....Comme Scott Fitzegerald, qui a construit le personnage de Daisy inspiré par son premier et grand amour de jeunesse, d´adolescence: il y avait toujours Guinevere avant Zelda, son épouse.

"Nous ne sommes que comme des bâteaux toujours repoussés en arrière par notre passé".

"Gatsby croyait à la lumière verte de l´espoir"/"Gatsby sí creía en aquella luz de color verdosa, ese futuro de orgías que al pasar de los años va retrocediendo ante nosotros" (la traducción es mía del texto inglés).

En espagnol: El Gran Gatsby, en todas las traducciones publicadas. Prefiero el título en francés que se inspira de la novela "Le Grand Meaulnes" que se tradujo al inglés como "The Magnificent Meaulnes".

Les critiques n´ont pas été très favorables. Mais, pour moi le film, sans comparaison avec les autres versions (sûrement celle de Robert Redford et Mia Farrow que nous adorons, sans doute forme part aussi de nos premiers amours et scéances de cinéma adolescent), a la lecture post-moderne que le roman méritait: la musique, les images visuelles, le rhythme du jazz, le luxe, le glamour, l´art visuel et numérique du design. Le nouveau cinéma qui nous attend.

Une histoire toujours unique et terrible: la noblesse d´un Magnifique et Éternel Adolescent qui n´avançait que pour cet Amour de Jeunesse première: un fantôme qui nous poursuit toute la vie. Mais un e lumière verte laquelle une fois retrouvée ne peut plus s´illuminer à l´infini. The American Dream qui s´épanouit...

sábado, 11 de mayo de 2013

Roméo et Juliette: La Tragédie de Danser L´amour à Séville. Compañía Nacional de Danza.

Nous voilà au Sud pour contempler une fois de plus la Tragédie des Amants: les plus beaux et jeunes amants du Monde qui affectés par les topiques attribués de tous côtés ne se résistent pas à nouveau à nous offrir cette fois, une plus que moderne vision d´un couple qui n´est pas vraiment un couple mais, plutôt un SEUL CORPS; UNE SEULE ÂME; UN SEUL ÊTRE. De là, l´impossibilité de fuir d´un DESTIN qui parait capricieux, mais qui est vraiemnt choisi par eux- mêmes. Ils ne dansent pas comme des victimes du Hasard, ou de la Fortune ou de la Mort Spectrale qui les poursuit et guette dès leur première rencontre au Bal de Masques (qui nous rapelle l´Aesthétique du film de Stanley Kubrick, "eyes Wide Shut" dans la choréographie de Goyo Montero de Ballet National d´Espagne). Dès le début le Spectre Eternel les guette comme chez Shakespeare: ils ont eux-mêmes choisi leur destin, par propre volonté carthésienne, en niant leur familles, leur prénoms, la société. Leur courage est dans leur éblouissante jeunesse à laquelle ils s´accrochent avec désespération.

Cette fois, Juliette a choisi librement son propre Destin: Danser éternelle avec son "Soi.- Même" qu´elle épousera pour un Toujours Uni`a son corps si fragile, apparemment. Son "AUTRE", son double, sa soeur jumelle: Roméo.  Libérée des tutus..et des impositions des Prénoms, des Noms, de la Haine des familles, des chaines et conventions sociales, elle apparait telle qu´elle est: nue, sans maquillages, sans faux costumes. La Tragédie de Shakespeare en traduction içi du Corps et accompagnée de la Musique de Prokoviev, au Ballet de Goyo Montero. Nous souhaitons de nombreux succès à cette extraordinaire Compagnie Nationale.

 Aimera  ce soir  une ville comme Séville cette si Moderne Tragédie au Théatre de la Maestranza? Écrite il y a des siècles pour exprimer la faiblesse de l´Artifice des Conventions comme le Language de la Parole qui s´erase,  quand les Amants s´aiment déjà même quand ils ne connaissent ni leur Noms...à travers leur Premier Bal qui permet que leurs mains se touchent, que leur lèvres se touchent, que leurs corps se frôlent...et se touchent à nouveau, ils franchissent les barrières en transformant leur propre corps. Rien ne s´oppose à la Force du Corps qui s´impose içi  même avec la violence des jeunes (la mort de Mercutio), à travers le language des gestes, des pas, des regards, des frôlements timides et hasardés. La Danse exprime plus que les autres Arts la force de L´amour eternel et sublime à travers notre Corps: seul espace tangible et Réel de L´Amour. Bravo!! pour tous ces danseurs et danseuses qui forment la Compagnie dir. par José Carlos Martínes. Impécable coréographie, moderne sur un ballet classique, selon GOYO MONTERO.

Carlos Martines est actuellement une Étoile de L´Opéra de Paris (palais Garnier). Une fois de plus, les dialogues entre le Nord et L´Espagne continuent...

isbelle-moinonplus: Roméo & Juliette à Seville: La tragédie de danser l´Amour au Sud/Compañía Nacional de Danza (Teatro de la Maestranza-Sevilla).

isbelle-moinonplus: Roméo & Juliette à Seville: La tragédie de danser l´Amour au Sud/Compañía Nacional de Danza (Teatro de la Maestranza-Sevilla).